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[Reno]

Exactement, à Compiègne. Pourquoi ?

Parce que j'étais allé voir dans la liste de leurs boutiques, voir s'il en restait une trace (mais non), et voir s'il pouvait y avoir une autre ville dans les alentours.

-La boutique était petite (20m² à tout casser) donc peu de diversité et de modèles en exposition.
-D'autres boutiques (indépendants) qui ont pignon sur rue depuis longtemps et avec des "surfaces" bien plus confortables.
-un emplacement en rue piétonne, bien fréquentée, dans un angle, donc pas mal, mais MAIS trop petit pour être bien identifié.

La fidélité des clients aux boutiques "habituelles" ont fait le reste.
Non vraiment, il n'y avait pas moyen que ça fonctionne.

OK.

Ils ont mal goupillé leur truc, donc

Et les boutiques 'historiques', c'était le même genre de positionnement ?

Parce que par chez nous, si je regarde Châteaudun ou Vendôme, il y a absolument RIEN si on sort d'ERAM ou des généralistes genre GEMO... c'est vraiment de la grole jetable, quoi. Je crois que j'ai vu une ou deux boutiques qui distribuaient du Paraboot (ça doit être le summum du haut de gamme dans la région) mais sinon, rien de rien. J'imagine qu'il faut pousser jusqu'à Blois ou Orléans, si on veut quelque chose d'un poil meilleur...

Je vais prendre contact avec un cordonnier bottier en fin de semaine, pour voir s'il peut me proposer quelque chose pour sauver ma paire de drivers massacrée.

[Untel]

A mais quand j'ai écris "pourquoi ?" c'est à prendre comme une phrase à part, pour répondre à ta question concernant le pourquoi de la fermeture.
J'avoue que la tournure de ma phrase prêtait à confusion.
Sinon je me doute bien pour quelle raison tu as pensé à Compiègne.

Quant aux autres boutiques "historiques" dont je parlais, elles ont leur positionnement principalement sur les chaussures cuir "haut de gamme".
Avec les accessoires qui vont avec, y compris un peu de maroquinerie.

Non, c'était vraiment pas gagné.

[Reno]

Compiègne.

Ça avait failli on aurait fondé le bureau local MGN

[Reno]

Sinon, premier jour avec les richelieus :







Confirmation de l'impression que j'avais eu en boutique, ce matin, en refaisant le laçage, j'ai vraiment eu un doute, je me suis demandé si je n'avais pas pris mes désirs pour des réalités...

Mais non. De vrais chaussons. Je me demande même si j'ai jamais eu une paire de chaussures de ville neuves aussi confortable.

Incroyable

[Alligator 427]

Comme dit plus en amont, il faut que j'aille en essayer, pour voir

[Reno]

Voilà.


Juste pour voir

[Untel]

Compiègne.

Ça avait failli on aurait fondé le bureau local MGN

Sinon, premier jour avec les richelieus :

Confirmation de l'impression que j'avais eu en boutique, ce matin, en refaisant le laçage, j'ai vraiment eu un doute, je me suis demandé si je n'avais pas pris mes désirs pour des réalités...
Mais non. De vrais chaussons. Je me demande même si j'ai jamais eu une paire de chaussures de ville neuves aussi confortable.

Incroyable

Comme dit plus en amont, il faut que j'aille en essayer, pour voir

Il faudrait que je fasse ça aussi.

Voilà.
Juste pour voir

[Reno]

Je les ai toujours aux pieds, je ne les ai même pas retirées en rentrant en fin de matinée

Je ne vais pas faire comme Hugo Jacomet qui racontait qu'il gardait les siennes pour dormir quand il recevait une nouvelle paire, quand il était gosse, mais c'est pas loin

Nan, vraiment, incroyable ces groles.

En plus, la météo est de mon côté, j'avais pris les deux paires en prévision de l'Automne, mais je ne pensais pas avoir l'occasion de les porter aussi tôt...

Mais alors moins de 72h après les avoir achetées, je n'imaginais pas








J'ai. Enfin. Une. Paire. De. Richelieus.

Incroyable

[Alligator 427]

Un homme satisfait en vaut deux
Elles sont plus jolies sur ces dernières photos que sur les précédentes, elles brillent plus

[Reno]

Oui, ça m'a surpris ; elles faisaient un peu ternes sur les photos prises en intérieur, je ne sais pas pourquoi





Nan mais sinon, je donne peut-être l'impression d'être exagérément enthousiaste, mais il faut bien comprendre que je traîne cette frustration de ne jamais avoir pu me trouver une paire jusqu'ici.

Ça remonte littéralement à la toute première fois où je suis allé essayer des chaussures de ville : j'avais craqué sur un modèle de richelieus (évidemment j'ignorais complètement à l'époque comment ça s'appelait), et naturellement, elles ne m'allaient pas.

J'avais réessayé au fil des ans chaque fois que je voyais passer ce genre de modèles, mais à chaque fois, ça coinçait. Du coup, ça se terminait systématiquement avec une paire de derbies (ou de boucles)...

J'ai encore essayé dans les années 90, la première fois où j'étais allé chez ASHFORD, rue de Châteaudun, dans le IXe.
C'était mon père qui m'y avait envoyé (c'était 'sa' boutique), et le deal était que je pouvais prendre deux paires, et qu'il m'en offrait une
C'est même pour ça que j'avais pris ma paire de Blucher, parce que c'était un genre de moyen terme entre les derbies et les richelieus.



(il faudra d'ailleurs que je refasse la patine un de ces quatre ; je les ai pas mal portées depuis qu'on est arrivé dans le Loir-et-Cher).