athanase a écrit:]
Très intéressante méthode d'évaluation du juste prix pour une montre. C'est la base, il faut en convenir et sans cesse y revenir.
Mais quand on achète une montre, objet inutile par excellence aujourd'hui, on achète du rêve. Le prix fait partie du rêve et plus le prix est élevé, plus le rêve est grand. Les marketeurs des marques les plus prestigieuses se moquent complètement de savoir le nombre d'aiguilles, la quantité de peinture ou même le nombre d'heures de travail pour assembler la montre dont ils sont chargés de fixer le prix. Le prix de la montre est fixé pour situer le produit dans une gamme et la marque au sein de la concurrence. Rien à voir avec ta méthode. Hélas. Sinon, comment expliquer des écarts de prix délirants entre des produits comparables, de marques différentes ?
Problème de référentiel tout au plus.
Avec les bonnes unités de mesures tout s'éclaire.
Au lieu de parler vulgairement en euros, comme le péquin moyen, élevons nous et passons à l'unité "vis de pont" (sans distinction dudit pont)
Il y a plus de vis dans un mouvement chrono que dans un trois aiguilles, non ?
Ben voilà.
Limpide.
(ça ne fonctionne pas du tout, mais alors pas dutoutdutoutdutout avec l'évaluation des dettes souveraines, ne jouez pas à ça)