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[Reno]

Oui c'est vrai qu'on peut faire des "miracles" avec des cuirs qu'on pourrait croire perdus. J'en ai fait l'expérience sur des sièges en cuir de bagnole.
Cela dit, les chaussures de ma compagne étaient loin d'être mortes avant entretien, le cuir avait certes perdu de sa prestance, mais il était intègre et non abîmé.

Absolument

Moi c'est une paire de gros gants en cuir que je croyais être bonne pour la benne (complètement secs, et couverts de moisissure blanche ).

Je les avais récupérés avec de la crème pour les mains le jour et la nuit. Et ils sont toujours fringants aujourd'hui

[Reno]

Tu retomberas peut-être dessus un jour sans les chercher

Je l'espère
Par contre je crois me souvenir que le confort n'était pas une de ses premières qualités...

Ah ben écoute, ça m'avait étonné quand j'avais acheté les Aigle ; la semelle est un peu 'formée', et j'avais été très agréablement surpris par le confort tout à fait correct de ces godasses super rustiques (bien plus qu'avec des Converse, par exemple).

Ca me donne envie de les reporter, tiens





Ce matin, pour aller faire mes courses, j'avais mes 'bouts carrés' à boucle.

[Alligator 427]

Sans lien particulier (quoi que)... nous étions invités Lundi soir par mes parents au casino de Royan pour le dîner, et j'ai été frappé

1. par la sociologie parisiano-bobo de la population locale ;
2. par le nombre de doudounes bleu marine (80% des gens) ;
   
3. surtout, par ce cauchemar sans fin que semble être la mode des baskets blanches chez les adultes

Je crois que mon père et moi devions être les seuls en mocassins.

D'une manière générale, la mode actuelle est un chouïa déprimante. Je ne parle même pas des mecs en tennis "normaux" c'est à devenir dingue.

Au temps jadis, les casinos avaient un peu de tenue ; là ça faisait limite cour des miracles

Je n'aime pas trop les doudounes, mais j'en une quand même (Mammut) qui s'avère, il faut le reconnaitre, chaude et fine.
Quant aux baskets blanches, et à la tenue vestimentaire en général qu'arbore certains... no comment, chacun fait comme il veut et tous les goûts sont dans la nature, même les plus mauvais

[Reno]

Je n'aime pas trop les doudounes, mais j'en une quand même (Mammut) qui s'avère, il faut le reconnaitre, chaude et fine.

J'en ai une énorme que j'ai acheté il y a des années, pour les grands froids (quand ça descend en dessous de 10°, en fait)... j'en avais marre de me geler sur les quais de gare quand j'habitais en région parisienne

Quant aux baskets blanches, et à la tenue vestimentaire en général qu'arbore certains... no comment, chacun fait comme il veut et tous les goûts sont dans la nature, même les plus mauvais

Hm

[Alligator 427]

Ce matin j'ai mis cette paire de Clarks oubliées exhumées d'un vieux placard.
Elle sont très confortables mais un petit entretien sera nécessaire.

Hier j'ai ai également profité pour passer une couche de cirage incolore sur les Clarks retrouvées, dont le cuir était un peu sec

[Reno]

Tu es motivé en ce moment

Je n'ai pas le courage de m'y mettre.

[Alligator 427]

Ben tu sais, une fois lancé ! Et puis pendant que la première paire absorbe le lait ou le cirage on peut s'occuper de la deuxième en temps masqué.

[Reno]

C'est de la flemme

Je n'en reviens pas à quel point l'A/R chez mes parents m'a foutu par terre. Je n'aime pas conduire, et passer plus d'une heure dans une bagnole me gonfle. Alors là, presque 4h, et deux jours de suite, ça m'a claqué.
Pendant ce temps-là, mon père (qui a toujours aimé conduire) peut encore se taper 900 bornes d'une traite à 82 ans

[Untel]

Pour les grandes distances, le confort de la voiture joue beaucoup.
Je peux toujours faire 600 ou 800 bornes, comme il y a 30 ans. Mais probablement pas avec un voiture de l'époque aujourd'hui.

[Reno]

De ce côté-là, je ne me plains vraiment pas.

La 156 est ultra-confortable. Excellente suspension, très bonne tenue de route. Relatif silence dans l'habitacle.

Non, c'est vraiment moi qui ne supporte pas les déplacements. J'ai bouffé des milliers de km pendant toute mon enfance et mon adolescence avec mes parents.
Ils ne tenaient pas en place. Les vacances, c'était jamais deux jours de suite au même endroit, et l'essentiel du temps passé dans la bagnole.
Pour l'étranger, c'était le taxi pour aller à l'aéroport ; des heures d'attente ; des heures de vol ; même chose à l'arrivée, en sens inverse

C'est d'ailleurs presque ce qui m'a dégoûté des voyages, en plus de l'inintérêt général qu'a toujours suscité chez moi ce tourisme moderne.


Ca, et les années de vie perdue dans les transports en commun et les embouteillages de la région parisienne...


Aujourd'hui, passer plus d'une heure enfermé dans une bagnole, ça me rend dingo