
C’est la version 41 mm, cadran bleu soleillé, équipée du nouveau mouvement L888 (réserve de marche de 64 heures). C’est ce mouvement qui sert de base au calibre certifié COSC de Longines. Celui de Warson Junior est dans le COSC (vérifié au chronocomparateur par l’horloger Longines au moment de l’achat – elle affichait une précision inférieure à 5 secondes par jour).
Première impression, une plongeuse qui apparaît solide, dès la prise en main, étanche à 300 mètres, verre saphir, couronne vissée. Tout respire la qualité… A noter que le boitier alterne les parties polies et brossées, c'est très soigné.
Le cadran est vraiment magnifique, avec ses jeux de lumière. J’avais peur qu’il fasse trop chargé, mais non, je le trouve assez équilibré. Les indexs ronds ainsi que les chiffres 12, 6 et 9 sont recouverts de superluminova. Même constat pour les aiguilles et la bille dans le triangle supérieur de la lunette. Ca brille, mais moins qu'une Seiko (j'ai comparé avec ma Samuraï)…

Le logo Longines est imprimé. La littérature est assez sobre (AUTOMATIC, 30bar (300meter) et le classique SWISS MADE en bas).

Les indexs ronds sont accompagnés d’indexs trapézoïdales, en acier poli. Ils se font oublier en fonction de l’incidence de la lumière. La date est sobre, classiquement à droite, Elle équilibre le cadran en donnant la contrepartie au 9.

Les aiguilles sont en acier poli, recouverte de superluminova. Je trouve qu’elles ont une longueur et une largeur assez réussies. L’aiguille des heures snowflake type Tudor ne me choque pas. J’aime bien l’aiguille des secondes, très longue, avec sa flèche rouge. Cela lui donne un air sportif.

Le logo Longines habille la couronne. Elle possède un petit décrochement qui permet de la tirer facilement avec l’ongle. C’est pratique et bien vu. Elle est remarquablement protégée par des épaulements assez imposants.

Le bracelet est en acier, avec un maillon central en acier poli (personnellement, j’aurai préféré un bracelet entièrement brossé). La boucle déployante ressemble à celle que l’on trouve sur les Seiko, en plus solide… J’aime bien les inscriptions… Elle est encore assez difficile à ouvrir, ca frotte dur…


Le fond est en acier brossé.


Elle est parfaite pour un poignet fin, avec ses cornes plongeantes.

Voilà, une montre que je trouve très réussie, avec un rapport qualité assez bluffant (vendue 1070 euros). Elle ne détonne pas du tout à coté de ma Seamaster.
Merci de m'avoir lu.
Steve