Tardigrade a écrit:Trois jours, ça parait effectivement interminable quand on est un drôle de 12 ans !
Ouais
C'est marrant, dans mon souvenir, j'avais l'impression que l'attente avait été beaucoup plus longue… comme quoi…
Edit : c'est rigolo toutes ces sonneries...
Oui hein ?

je dois dire que même aujourd'hui, après toutes ces années, je n'arrive pas à être totalement blasé.
Cette montre, c'est quand même quelque chose
alcofribas a écrit:Jeux interdits, Kalinka, ObaO, Big Ben, Vive les Mariés, c'est un retour vers les années collèges, y en avait un dans ma classe, qui s'amusait en cours avec sa montre, vive le vent d'hiver, happy birthday, casio, c'était vraiment, le haut de gamme .
Alors,
en l'occurence, non.
On va dire que c'était le moyen de gamme. C'était pas la dèche, car tout le monde n'avait pas de "montre à quartz" comme on disait à l'époque

mais il y avait quelques gamins fortunés (très peu, un ou deux à tout casser par classe) qui avaient des SEIKO, qui se distinguaient des CASIO par leur boîtier 100% acier et un prix d'achat bien plus élevé. C'étaient des "montres de riches"
En général, c'étaient les mêmes qui un peu plus tard avaient des bombers ou des perfecto de chez Schott, des Weston aux pieds, et toute la panoplie qui allait avec.
Et une SEIKO acier, à l'époque, ça allait allègrement chercher entre 600 et 1000 francs (voire plus) ; on était très loin des 200 francs de la CASIO "moyenne" (certaines coûtaient moins cher). Je ne me souviens plus s'il existait des marques plus exotiques (comme ma
Piratron) ; je sais que JAZ et YEMA avaient aussi des quartz LCD à leur catalogue, mais je ne garde aucun souvenir précis d'en avoir vu au poignet de mes camarades.
CASIO et SEIKO, c'est sûr et certain
