Gér@rd a écrit:Citation [Lettres d'amour à Joséphine, Fayard, p. 155]" :
"Au nez d'un Napoléon épris, l'odeur corporelle de Joséphine avec toutes ses composantes organiques est délicieuse. Loin de susciter le dégoût, elle éveille le désir et l'amour, comme en témoigne cette fameuse lettre où l'empereur écrit à sa femme : "Ne te lave pas, j'accours et dans huit jours je suis là ".
Quoi de plus normal que d'être épris d'un verre de Whisky ?
Et son équivalent moderne, toujours d'une brûlante actualité :