Ils ont intérêt à caser des épisodes intercalaires entre les épisodes existant, parce que le précédent était particulièrement décérébré du scénario. Si je me souviens bien, la rébellion était toujours en guerre après la victoire sur l'Empire et le rétablissement de la république, mais tout était encore comme avant. Du grand n'importe quoi.
Reno a écrit:Entre deux cartons, je me prépare à attaquer la saison 4 de Californication
c'est bien cette série ?
Phé-no-mé-nal.
Le défilé le plus ahurissant de minettes que j'ai vu dans aucune série.
Le mec passe son temps à sauter sur tout ce qui bouge. Ou plus exactement, il se fait sauter dessus par tout ce qui bouge.
Vraiment, Duchovny est excellent dans le rôle d'un ex écrivain à succès, Hank Moody, en pleine déroute (un peu sur le mode Bret Easton Ellis, mais pas tout à fait non plus).
Le mec picole, clope, se bat avec d'autres connards, se débat comme un noyé qui boit la tasse dans ses problèmes familiaux avec sa femme (la toujours spectaculaire Natascha McElhone toujours amoureuse mais épuisée nerveusement par le comportement ahurissant de l'autre couillon) et sa fille (une gamine d'une surprenante maturité, confrontée qu'elle est depuis son plus jeune âge aux frasques de ce père qu'elle adore, en dépit de tout) ; cette famille où règne de toute évidence un amour fou (c'est ce qui les rend si attachant), palpable, est toujours au bord de l'implosion…
Hank est un véritable aimant à gonzesses, c'est sa malédiction. Le mec est passionné par les femmes, il les aime, il les écoute, il irradie. Et il ne sait pas dire non, ce qui le conduit toujours à des situations de plus en plus inextricables.
Excellente distribution, par ailleurs, car tous les autres rôles (son agent, la femme d'icelui, les membres de l'université ou Moody fait des piges pendant la saison 3) tons sont excellents et concourent à créer une ambiance de couples à la dérive, tous profondément amoureux, mais emportés par leur immaturité, sans aucun cadre moral pour les encadrer.
C'est jubilatoire, c'est adolescent, c'est abject, c'est déprimant.
Et je le redis, les femmes, dans cette série, sont juste incroyables.
Dans la saison 3, ça atteint un sommet de délire, puisqu'en tant que prof de littérature, il se tape en même temps la femme du doyen, la prof assistante de son cours, et une de ses étudiantes. Les trois sont juste spec-ta-culaires, dans des registres totalement différents
Mais je précise aussi que ça ne repose pas que sur le côté 'cul'… toutes les nanas ont des personnalités renversantes, c'est ça qui rend leurs rapports passionnants.
À noter que les épisodes sont très courts (½ heure ), je ne savais même pas qu'un tel format existait.
Un dernier point amusant : Duchovny avait tourné dans une série érotique "Red Shoe Diaries" plus de 10 ans auparavant… j'étais "tombé dessus" en fin de soirée le Dimanche (sur M6, je crois), et bien que ça ne m'ait pas laissé un souvenir impérissable, la première fois que j'ai vu Californication, j'ai immédiatement pensé à cette série
Enfin comme j'ai besoin de m'occuper la tête, ces jours-ci, c'est vraiment parfait.
Excellent, Californication. Je pense me refaire ça un de ces quatre.
Bon, sinon pour Rogue Nation, c'est plutôt pas mal. Encore une fois, le commissaire Juve échoue à serrer Fantomas (ça c'est du spoil !) mais ça vient bien s'insérer entre La revanche des Siths et Le nouvel espoir. N'empêche... la franchise Star Wars... c'est le casse du siècle point de vue rentabilisation financière.
Je suis l'addition de mes contradictions. Son résultat doit être proche de zéro. En clair, je ne suis pas grand chose. (Нико_ле_Норманд) Je n'ai plus qu'à me vendre aux saints, aux martyrs et aux anges. (Jérôme Santelli)
Nico_le_Normand a écrit:... Bon, sinon pour Rogue Nation, c'est plutôt pas mal. Encore une fois, le commissaire Juve échoue à serrer Fantomas (ça c'est du spoil !)
Heureusement, y'a Bruce Willis qui vient botter le cul des méchants !
Je suis l'addition de mes contradictions. Son résultat doit être proche de zéro. En clair, je ne suis pas grand chose. (Нико_ле_Норманд) Je n'ai plus qu'à me vendre aux saints, aux martyrs et aux anges. (Jérôme Santelli)