par Nico_le_Normand » 18 Nov 2016, 16:04
Tiens, au sujet de Francis Blanche... va falloir que je me refasse Les Barbouzes.
Sans revenir sur Les Tontons Flingueurs qui reste un de mes films fétiches, il y a un truc en plus (plus de zoizos, de zanimo !) dans Les Barbouzes dans son contexte de guerre froide.
Boris Vassilieff : Tu...Mais...Boris ! Voyons ! Le presque frère...Ce pauvre cher Constantin a têté le lait de ma mère à Odessa...Ah...Odessa...Je nous vois encore, nos jeux, nos chants...Laï-laï-laï ! Wouh ! Laï-laï-laï-laï-la-la-la-laï !Wouh ! Aaah...L'odeur du goudron sur les quais d'Odessa, le vent du large dans les cheveux de ce pauvre cher Constantin...
Amaranthe : Mais je croyais qu'il était né à Téhéran ?
Boris Vassilieff : Et alors, hum ? On chante aussi bien à Téhéran qu'à Odessa, non ?
Francis Lagneau : Oui mais le vent du large souflle un peu moins fort, c'est à deux cents bornes de la mer.
Boris Vassilieff : Hum ! Notion bourgeoise des distances !
Boris Vassilieff : Et maintenant, le monstre, comment on le supprime ?
Eusebio Cafarelli : Ben je suggère un truc de bonne femme, euh, genre, euh, tisane, vous savez, la mauvaise santé par les plantes...
Boris Vassilieff : Oooh, c'est un peu triste, non j'aimerais mieux quelque chose de plus enlevé, de plus allègre, quelque chose de...dans le genre de ça !
Hans Muller : Qu'est ce que c'est ?
Boris Vassilieff : Ca ? Un dérivé lent de la nitroglycérine...Cinq-six gouttes dans le potage et le patient explose ! Poum ! De l'intérieur !
Eusebio Cafarelli : Ecoutez Boris, mon vieux, cessez de jouer avec vos p'tits produits, sinon un jour vous nous ferez péter la gueule ! Hein... ?
Boris Vassilieff : Oooh...si vous préférez le bricolage... !
Je suis l'addition de mes contradictions. Son résultat doit être proche de zéro. En clair, je ne suis pas grand chose. (Нико_ле_Норманд)
Je n'ai plus qu'à me vendre aux saints, aux martyrs et aux anges. (Jérôme Santelli)