A votre contact, je m'enhardis de jour en jour, et ai ouvert quelques montres, changé quelques piles de quartzouilles qui dormaient dans ma boîte. En investissant un peu dans l'outillage, au prix des piles seules cela s'amortit très vite. J'ai donc une presse à fond depuis quelques jours.
J'avais par ailleurs cette montre (classée dans ma catégorie personnelle : "propagande", dont elle est l'unique spécimen), achetée en 2006 lors d'une visite touristique de Pékin, à la sortie du mausolée de Mao (j'ai fait deux ou trois tours pour voir le bonhomme qui semblait en cire ou en plastique). Hô Chi Minh et Lénine, en d'autres occasions, j'avais renoncé : trop de monde dans la file d'attente pour mon culte de la personnalité, manifestement pas assez affirmé.
J'avais cassé le verre assez vite, et pas jugé économiquement valable de la faire réparer.
Mais aujourd'hui, je me suis dis : "pourquoi ne pas tenter de le changer moi-même, je ne risque rien que d'apprendre".
Ce verre était bombé (pas fait de photo "avant") et a éclaté à la tentative d'extraction. Il semble collé, des résidus demeurent et des fragments de verre restaient attaché dans l'emplacement.
Le diamètre intérieur, au réglet mesure 30 mm. Je peux faire un mesure plus précise au pied à coulisse.
Cette montre est plutôt un support d'exercice qu'autre chose (bien que je la trouve marrante, il est bon aussi de se rappeler que ce pays oriental nous fournissant tant de biens de consommation reste en façade attaché à ce décorum ... pittoresque).
Du coup, questions :
- Quel type de verre commander ?
- Quel procédé de remontage employer ?
Pour l'anecdote, à l'intérieur, on trouve un Miyota 2033/35 (?), j'ai deux autres montres, en catégorie "publicitaire" (ou propagande capitaliste...) elles, dotées de ce mouvement.
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Mais ça a une logique, c'est beaucoup plus rapide et moins cher 
), le premier truc à faire, c'est de virer les résidus de colle de façon a avoir un logement le plus propre possible.
Je connaissais aussi "gonzier", comme masculin de gonzesse 
