Non non non et non.Reno a écrit:(…)
Certains baptisent parfois telle ou telle
Bagelsport ou Parnis de "Perron" mais franchement, on n'est plus là dans la même catégorie.
Quels que soient les défauts de ces "marques" (je sais, j'en ai dans ma collection), on se situe ici dans l'entrée de gamme.
On a des produits d'une qualité remarquable pour le prix, des boîtiers acier, de la finition (alternance
poli/brossé sur les boîtiers), des mouvements très chouettes comme les UNITAS chinois ou les ST-25 qui sont de toute beauté



(…)
Une correction d'ailleurs, par rapport à ce que j'écrivais à l'époque…
J'ai même du mal à qualifier les Parnis "
d'entrée de gamme" seulement, tant leur qualité globale est remarquable.
C'est un réflexe idiot, parce que je garde leur prix à l'esprit.
En fait, c'est une démonstration éclatante de l'inanité absolue de cette sentence définitive : "on en a pour ce qu'on a payé".
Non mes braves amis, on en a rarement "pour ce qu'on a payé".
On paye bien souvent beaucoup trop pour la valeur réelle de l'objet. À commencer par du marketing.
Pour Parnis (ou Alpha, ou TAO), on paye à mon avis
beaucoup moins que ce qu'on a. Ou en tout cas, proche de la valeur réelle de l'objet, et infiniment moins que ce qu'on nous le vendrait en boutique, avec une bonne grosse louche de marketing.
Parnis
(comme les regrettées TAO) sont des montres qu'on trouverait chez un horloger/bijoutier vendues 400 € sans qu'elles aient à en rougir. En tout cas bien moins que les
Gucci, Calvin Klein, Diesel et que sais-je encore, toutes ces quartz de "couturiers" qui encombrent les vitrines.
PARNIS, c'est certes
pas cher, mais on est présence de montres mécaniques
de fort bonne facture.
Les matériaux sont de première bourre, les mouvements sont excellents…
c'est pas du tout du perron.Et je signe.


