) . Après l'ordinateur devient vraiment un outil dont on veut qu'il marche sans devoir passer plus de temps à trifouiller ou régler qu'à s'en servir. Je me souvient d'un Compaq format machine à coudre (ça va rappeler des souvenirs, non ?), style Osborne. Pour changer quoi que ce soit il fallait virer au moins une cinquantaine de vis plus des composants. L'enfer !Histoire de resituer tout ça, mon premier contact avec un micro, un Apple 1, c'était au SICOB de 1978 je crois. J'ai commencé avec un PET 2001 de chez Commodore avec 8k (et oui des kilos) de mémoire
et programme sur cassettes qu'il fallait réinstaller à chaque fois. Avec découverte de l'assembleur 6502. Puis j'ai été MacFan avec mon Apple IIe (je me souviens qu'à l'époque ça valait 12.000F, j'avais été obligé de prendre un crédit !), toujours avec de l'assembleur. J'ai quitté au moment de la sortie du Mackintosh premier du nom, quand j'ai compris qu'Apple avait décidé de ne s'occuper que des riches. Après j'ai eu de l'Oric 1, de l'Atari 1024 et puis du PC sous toutes ses formes. Niveau logiciel, outre le MS Dos il y avait du DR Dos avec du paramétrage de mémoire paginée et étendue. Ah la vache, j'arrête. C'était quand même sympa. La jeunesse c'est toujours sympa.
L'abus de montres est dangereux pour la santé... financière.
