Ce matin, je m'apprête à entamer ma corvée bi annuelle consistant à avancer toutes mes montres d'une heure, en prévision du changement horaire de demain, lorsque je tombe, d'un œil distrait, sur la page 32 du Figaro de ce samedi que le porteur a glissé ce matin, comme chaque jour avant 7 heures, dans ma boîte à lettres. Son titre me fait sursauter en évoquant une réminiscence qui n'a rien de vague : où diable ai je déjà lu cela? Bon sang, mais c'est bien sûr : c'est exactement le nom de mon site horloger favori.

Alors comme on ne m'abusera pas (la titraille au Figaro, je sais comment on l'a fait, puisque j'y ai été rédacteur en chef), la conclusion est qu'il y a un espion parmi nous. Je demande donc instamment au responsable (rédacteur, SdR, correcteur), de se dénoncer. Faute de quoi, il ne restera plus à Maître Abbazz, notre vénéré vénérable webmestre qu'à engager des poursuites pour... contrefaçon. A moins que ce ne soit pour imitation. Ou encore de se souvenir que celle-ci est, comme l'a dit je ne sais plus qui, la forme la plus sincère de la flatterie.

JM
P.S.1 : je n'ose imaginer les réactions effarées des lecteurs du Figaro membres du bar d'en face devant cette attaque massive "dénigrant" les marques "icôniques" aux pieds desquelles ils se prosternent...





P.S.2 : je trouve la Seiko Credor sublime