

4ème TAO arrivée sans encombres, livrée en moins de deux semaines (malgré les "vacances" chinoises)

Packaging : le même que pour l'Admiral's Cup, une petite boîte sans chichis.


(La montre est arrivée dans un colis en polystyrène avec tous les papiers bulles et plastiques de protection possibles et imaginables…)
La carte de garantie, vierge, comme à l'accoutumée


La montre :
Si l'inspiratrice est une heures sautantes à minutes et date rétrograde, la version de TAO reprend une architecture plus classiques, avec minutes sur l'aiguille centrale qui fait un tour de cadran complet, et une petite seconde à 6h. Seule l'heure est "sautante", dans le guichet à 12h. Pas de date sur ce modèle, ça me va tout à fait

On reconnaît le design de Gerald Genta, décliné à l'envie par la marque, même si Monsieur n'est plus là.
Comme toujours, la qualité est bluffante pour une montre à 65€

La jolie couronne deux positions (remontage / réglage)
Pas de ST-25 sur ce modèle, mais un honnête ST-16. C'est un peu moins beau, mais la montre retrouve du même coup une taille moins effrayante pour le commun des mortels

Bracelet :
Je me demandais plus haut "comment font-ils à ce prix-là ?" et le bracelet est une explication… faut le dire, sur les TAO, c'est rarement le point fort. Sur cette heures sautantes, on n'est pas loin du bracelet en carton bouilli modèle Winner

Très dur, pas très agréable au porté ; heureusement, il est visuellement correct.
La boucle. Pas de quoi se relever la nuit.
Le "soucis" avec les bracelets TAO, c'est qu'ils sont souvent spécifiques, et souvent durs à changer, à cause de bizarreries (genre des double pompes)… du coup, un bracelet pas terrible qu'on ne peut changer que difficilement, ça pourra en rebuter certains

Dans le cas de celle-ci, c'est la découpe du bracelet, au niveau des cornes, qui poserait problème si on souhaitait remplacer le bracelet.
Au poignet :
Je le redis, la montre est d'une taille archi-classique, peu épaisse (voire même fine), légère… plus aucune excuse pour ceux qui jugeaient (à raison) les autres modèles gigantesques.


À côté de ses grandes soeurs…

À côté du monstre Endurer, ça n'a l'air de rien, mais au poignet, il y a un univers.
Cette "Heures sautantes" est incontestablement ma plus petite TAO.

Conclusion : une fois de plus, TAO, champion
















