Là, il s'agissait purement et simplement du franchissement net d'une barrière de légalité (c'est l'échelle au-dessus). Pour les copies et hommages la barrière peut rester assez flou et discutable (copie d'un design déposé par exemple) alors que pour les contrefaçons (copies signées de la marque contrefaite) la législation française est claire et nette.
Si je me fais "vérifier" à la douane avec une Rolex au poignet et qu'elle est détectée comme fausse je suis théoriquement passible de xxxx € d'amende et de poursuites de la part de Rolex. Dans la pratique courante le douanier saisira la montre et Rolex laissera tomber (pour un individu il s'en fiche).
Jusque là ça ne va pas très loin et la probabilité que ça arrive n'est pas très grande (les douaniers vont pas fouiller systématiquement tous ceux qui ont fait leur marché à Vintimille

