Réflexion en vrac sur l'affaire Volkswagen en particulier et sur le monde politique en général.
Posté sur un forum dédié à la voiture qui a la réputation de ne pas se traîner.
En ce qui me concerne, je prends l'affaire Volkswagen comme le nouveau feuilleton à la mode dans une actu sans cesse renouvelée.
A une limite qui se situerait entre distance et amusement.
Sans doute est-ce parce que je n'ai pas l'âme écolo une seule seconde - je me fous royalement de savoir ce que ma voiture rejette (ou pas) - je n'ai jamais pris au sérieux ces histoires de mesures de consommation au banc en laboratoire et non pas in vivo sur la route.
Alors extrapoler des rejets à partir de consommation biaisées... quelle vaste blague.
Les croire... quelle naïveté !
Il est su, depuis des lustres, qu'on peut (voire qu'on doit) ajouter 30 à 50% aux chiffres de consommation annoncés par les constructeurs et que celles annoncées de 2 ou 3 litres au 100 pour certaine autos - notamment hybrides - relèvent de l'imposture.
Ce ne sont que des arguments de plaquettes publicitaires.
La réalité est à lire en tout petits caractères et en dernière page dans une langue incompréhensible du commun des mortels.
Il en va de même pour les promesses politiques des uns et des autres. Il y a ce qu'ils (ne) disent (pas)... et ce qu'ils (ne) feront (pas).
L'un et l'autre ne vont pas nécessairement dans le même sens.