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Re: Bannissement

Messagepar lesmontres » 02 Juin 2014, 19:55

Des photos très évocatrices Platy!! :lol:
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Re: Bannissement

Messagepar platyphyl » 02 Juin 2014, 20:27

Dénoncer c'est une chose, mais quand on a en plus les images ....
C'est là que l'on se rend compte de la turpitude de certains ...
Avec une bonne paire de gant si tu as un livre qui se lit de la main gauche ou droite, à chacun son côté.

:54374:
Mon corps est un lieu de plaisir assez peu fréquenté. Inscrit depuis toujours au Club des Baiseurs Déficitaires, je passe habituellement mes nuits en compagnie d'un tee-shirt en coton sur lequel est écrit : "Libido Zéro".
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Re: Bannissement

Messagepar nic0 » 02 Juin 2014, 20:31

krkvoid a écrit:
alemmar a écrit:ça c'est ben vrai!! Le pire, c'est les chefaillons qui sucent la roue du "chef": z'ont mm pas les c... de te répondre directement!
Heureusement, ici c'est pas pareil!
:)


ouch
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je tenais à demander une fois de plus le bannissement de ce karkavoid de malheur qui apporte mauvaise ambiance et agressivité sur le forum, en plus il me traite régulièrement en mp et après il dit que c'est même pas vrai et il m'a piqué ma signature en rajoutant son pseudo dessus pour faire croire que c'est lui qui l'a fait :x

je sais que beaucoup pensent comme moi mais n'osent pas l'exprimer tellement il fait regner la terreur mais moi je m'en fous je parle au nom de tous les petits les sans grades les passionnés qui ne demandent qu'a discuter de leur passion sans subir ce karakvoid de sinistre mémoire :x
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Re: Bannissement

Messagepar krkvoid » 02 Juin 2014, 20:44

t es qu un plagieur voire plagiste
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Re: Bannissement

Messagepar sistersa007 » 02 Juin 2014, 20:45

Bucarest est une belle ville où il semble que viennent se mêler l'Orient et l'Occident. On est encore en Europe si l'on prend garde seulement à la situation géographique ; mais on est déjà en Asie si l'on s'en rapporte à certaines mœurs du pays, aux Turcs, aux Serbes et autres races macédoniennes dont on aperçoit dans les rues de pittoresques spécimens. Pourtant c'est un pays latin, les soldats romains qui colonisèrent le pays avaient sans doute la pensée constamment tournée vers Rome, alors capitale du monde et chef lieu de toutes les élégances. Cette nostalgie occidentale s'est transmise à leurs descendants : les Roumains pensent sans cesse à une ville où le luxe est naturel, où la vie est joyeuse. Mais Rome est déchue de sa splendeur, la reine des cités a cédé sa couronne à Paris et quoi d'étonnant que, par un phénomène atavique, la pensée des Roumains soit toujours tournée vers Paris, qui a si bien remplacé Rome à la tête de l'univers !

De même que les autres Roumains, le beau prince Vibescu songeait à Paris, la Ville-lumière, où les femmes, toutes belles, ont toutes aussi la cuisse légère. Lorsqu'il était encore au collège de Bucarest, il lui suffisait de penser à une Parisienne, à la Parisienne, pour bander et être obligé de se branler lentement, avec béatitude. Plus tard, il avait déchargé dans maints cons et culs de délicieuses Roumaines. Mais il le sentait bien, il lui fallait une Parisienne.

Mony Vibescu était d'une famille très riche. Son arrière grand-père avait été hospodar, ce qui équivaut au titre de sous préfet en France. Mais cette dignité était transmise de nom à la famille, et le grand-père et le père de Mony avaient chacun porté le titre de hospodar. Mony Vibescu avait dû également porter ce titre en l'honneur de son aïeul.

Mais il avait lu assez de Romans français pour savoir se moquer des sous préfets : "Voyons, disait-il, n'est-ce pas ridicule de se faire dire sous préfet parce que votre aïeul l'a été ? C'est grotesque, tout simplement !" Et pour être moins grotesque, il avait remplacé le titre d'hospodar sous-préfet par celui de prince. "Voilà, s'écriait-il, un titre qui peut se transmettre par voie d'hérédité. Hospodar, c'est une fonction administrative, mais il est juste que ceux qui se sont distingués dans l'administration aient le droit de porter un titre. Je m'anoblis. Au fond, je suis un ancêtre. Mes enfants et mes petits enfants m'en sauront gré."

Le prince Vibescu était fort lié avec le vice-consul de Serbie : Brandi Fornoski qui, disait-on par la ville, enculait volontiers le charmant Mony. Un jour, le prince s'habilla correctement et se dirigea vers le vice-consulat de Serbie. Dans la rue, tous le regardaient et les femmes le dévisageaient en se disant : "comme il a l'air parisien !"

En effet, le prince Vibescu marchait comme on croit à Bucarest que marchent les Parisiens, c'est à dire à tout petits pas pressés et en tortillant le cul. C'est charmant ! et lorsqu'un homme marche ainsi à Bucarest, pas une femme ne lui résiste, fût-elle l'épouse du Premier ministre.

Arrivé devant la porte du vice consulat de Serbie, Mony pissa longuement contre la façade, puis il sonna. Un Albanais vêtu d'une fustanelle blanche vint lui ouvrir. Rapidement, le prince Vibescu monta au premier étage. Le vice-consul Brandi Fornoski était tout nu dans son salon. Couché sur un sofa moelleux, il bandait ferme ; près de lui se tenait Mira, une brune monténégrine qui lui chatouillait les couilles. Elle était nue également et, comme elle était penchée, sa position faisait ressortir un beau cul bien rebondi, brun et duveté, dont la fine peau était tendue à craquer. Entre les deux fesses s'allongeait la raie bien fendue et poilue de brun, on apercevait le trou prohibé rond comme une pastille. Au-dessous, les deux cuisses, nerveuses et longues, s'allongeaient, et comme sa position forçait Mira à les écarter, on pouvait voir le con, gras, épais, bien fendu et ombragé d'une épaisse crinière toute noire. Elle ne se dérangea pas lorsque entra Mony. Dans un autre coin, sur une chaise longue, deux jolies filles au gros cul se gougnottaient en poussant des petits "Ah" de volupté. Mony se débarrassa rapidement de ses vêtements, puis le vit en l'air, bien bandant, il se précipita sur les deux gougnottes en essayant de les séparer. Mais ses mains glissaient sur leurs corps moites et polis qui se lovaient comme des serpents. Alors voyant qu'elles écumaient de volupté, et furieux de ne pouvoir la partager, il se mit à claquer de sa main ouverte le gros cul blanc qui se tenait à sa portée. Comme cela semblait exciter considérablement la porteuse de ce gros cul, il se mit à taper de toutes ses forces, si bien que la douleur l'emportant sur la volupté, la jolie fille dont il avait rendu rose le joli cul blanc, se releva en colère en disant :

- Salop, prince des enculés, ne nous dérange pas, nous ne voulons pas de ton gros vit. Va donner ce sucre d'orge à Mira. Laisse nous nous aimer, N'est ce pas Zulmé ?

- Oui ! Toné! répondit l'autre jeune fille.

Le prince brandit son énorme vit en criant:

- Comment, jeunes salaudes, encore et toujours à vous passer la main dans le derrière ! Puis saisissant l'une d'entre elles, il voulut l'embrasser sur la bouche. C'était Toné, une jolie brune dont le corps tout blanc avait aux bons endroits, de jolis grains de beauté qui en rehaussaient la blancheur ; son visage était blanc également, et un grain de beauté sur la joue gauche rendait très piquante la mine de cette gracieuse fille. Sa poitrine était ornée de deux superbes tétons durs comme du marbre, cernés de bleu, surmontés de fraises rose tendre et dont celui de droite était joliment taché d'un grain de beauté placé là comme une mouche, une mouche assassine.

Mony Vibescu en la saisissant avait passé les mains sous son gros cul qui semblait un beau melon qui aurait poussé au soleil de minuit tant il était blanc et plein. Chacune de ses fesses semblait avoir été taillée dans un bloc de carrare sans défaut et les cuisses qui descendaient en dessous étaient rondes comme les colonnes d'un temple grec. Mais quelle différence! Les cuisses étaient tièdes et les fesses étaient froides, ce qui est un signe de bonne santé. La fessée les avait rendues un peu roses, si bien qu'on eût dit de ces fesses qu'elles étaient faites de crème mêlée de framboises. Cette vue excitait à la limite de l'excitation le pauvre Vibescu. Sa bouche suçait tour à tour les tétons fermes de Toné ou bien se posant sur la gorge ou sur l'épaule y laissait des suçons. Ses mains tenaient fermement ce gros cul ferme comme une pastèque dure et pulpeuse. Il palpait ces fesses royales et avait insinué l'index dans un trou du cul d'une étroitesse à ravir. Sa grosse pine qui bandait de plus en plus venait battre en brèche un charmant con de corail surmonté d'une toison d'un noir luisant. Elle lui criait en roumain : "Non, tu ne me le mettras pas !" et en même temps elle gigotait de ses jolies cuisses rondes et potelées. Le gros vit de Mony avait déjà de sa tête rouge et enflammée touché le réduit humide de Toné. Celle-ci se dégagea encore, mais en faisant ce mouvement elle lâcha un pet, non pas un pet vulgaire mais un pet au son cristallin qui provoqua chez elle un rire violent et nerveux. Sa résistance se relâcha, ses cuisses s'ouvrirent et le gros engin de Mony avait déjà caché sa tête dans le réduit lorsque Zulmé, l'amie de Toné et sa partenaire de gougnottage, se saisit brusquement des couilles de Mony et, les pressant dans sa petite main, lui causa une telle douleur que le vit fumant ressortit de son domicile au grand désappointement de Toné qui commençait déjà à remuer son gros cul sous sa fine taille.

Zulmé était une blonde dont l'épaisse chevelure lui tombait jusqu'aux talons. Elle était plus petite que Toné, mais sa sveltesse et sa grâce ne lui cédaient en rien. Ses yeux étaient noirs et cernés. Dès qu'elle eût lâché les couilles du prince, celui-ci se jeta sur elle en disant : "Eh bien ! tu vas payer pour Toné." Puis, happant un joli téton, il commença à en sucer la pointe. Zulmé se tordait. Pour se moquer de Mony elle faisait remuer et onduler son ventre au bas duquel dansait une délicieuse barbe blonde bien frisée. En même temps elle ramenait en haut un joli con qui fendait une belle motte rebondie. Entre les lèvres de ce con rose frétillait un clitoris assez long qui prouvait ses habitudes de tribadisme. Le vit du prince essayait en vain de pénétrer dans ce réduit. Enfin, il empoigna les fesses et allait pénétrer lorsque Toné, fâchée d'avoir été frustrée de la décharge du superbe vit, se mit à chatouiller avec une plume de paon les talons du jeune homme. Il se mit à rire, à se tordre. La plume de paon le chatouillait toujours ; des talons elle était remontée aux cuisses, à l'aine, au vit qui débanda rapidement.

Les deux coquines, Toné et Zulmé, enchantées de leur farce, rirent un bon moment, puis, rouges et essoufflées, elles reprirent leur gougnottage en s'embrassant et se léchant devant le prince penaud et stupéfié. Leurs culs se haussaient en cadence, leurs poils se mêlaient, leurs dents claquaient l'une contre l'autre, les satins de leurs seins fermes et palpitants se froissaient mutuellement. Enfin, tordues et gémissant de volupté, elles se mouillèrent réciproquement, tandis que le prince recommençait à bander. Mais les voyant l'une et l'autre si lasses de leur gougnottage, il se tourna vers Mira qui tripotait toujours le vit du vice-consul. Vibescu s'approcha doucement et faisant passer son beau vit dans les grosses fesses de Mira, il l'insinua dans le con entrouvert et humide de la jeune fille qui, dès qu'elle eût senti la tête du nœud qui la pénétrait, donna un coup de cul qui fit pénétrer complètement l'engin. Puis elle continua ses mouvements désordonnés, tandis que d'une main le prince lui branlait le clitoris et que de l'autre il lui chatouillait les nichons.

Son mouvement de va-et-vient dans le con bien serré semblait causer un vif plaisir à Mira qui le prouvait par des cris de volupté. Le ventre de Vibescu venait frapper contre le cul de Mira et la fraîcheur du cul de Mira causait au prince une aussi agréable sensation que celle causée à la jeune fille par la chaleur de son ventre. Bientôt, les mouvements devinrent plus vifs, plus saccadés, le prince se pressait contre Mira qui haletait en serrant les fesses. Le prince la mordit à l'épaule et la tint comme ça. Elle criait :

- Ah ! c'est bon... reste... plus fort... plus fort... tiens, tiens, prends tout. Donne le moi, ton foutre... Donne-moi tout... Tiens... Tiens!... Tiens !

Et dans une décharge commune ils s'affalèrent et restèrent un moment anéantis. Toné et Zulmé enlacées sur la chaise longue les regardaient en riant. Le vice consul de Serbie avait allumé une mince cigarette de tabac d'Orient. Lorsque Mony se fut relevé, il lui dit :

- Maintenant, cher prince, à mon tour ; j'attendais ton arrivée et c'est tout juste si je me suis fait tripoter le vit par Mira, mais je t'ai réservé la jouissance. Viens, mon joli cœur, mon enculé chéri, viens ! que je te le mette.

Vibescu le regarda un moment puis, crachant sur le vit que lui présentait le vice-consul, il proféra ces paroles :

-J'en ai assez à la fin d'être enculé par toi, toute la ville en parle.

Mais le vice-consul s'était dressé, bandant, et avait saisi un revolver. Il en braqua le canon sur Mony qui, tremblant, lui tendit le derrière en balbutiant :

-Brandi, mon cher Brandi, tu sais que je t'aime, encule moi, encule moi.

Brandi en souriant fit pénétrer sa pine dans le trou élastique qui se trouvait entre les deux fesses du prince. Entré là, et tandis que les trois femmes le regardaient, il se démena comme un possédé en jurant :

-Nom de Dieu ! Je jouis, serre le cul, mon joli giton, serre, je jouis. Serre tes jolies fesses. Et les yeux hagards, les mains crispées sur les épaules délicates, il déchargea. Ensuite Mony se lava, se rhabilla et parti en disant qu'il reviendrait après dîner. Mais arrivé chez lui, il écrivit cette lettre :

"Mon cher Brandi,

"J'en ai assez d'être enculé par toi, j'en ai assez des femmes de Bucarest, j'en ai assez de dépenser ici ma fortune avec laquelle je serais si heureux à Paris. Avant deux heures je serais parti. J'espère m'y amuser énormément et je te dis adieu."

"Mony, prince Vibescu, Hospodar héréditaire."

Le prince cacheta la lettre, en écrivit une autre à son notaire où il le priait de liquider ses biens et de lui envoyer le tout à Paris dès qu'il saurait son adresse. Mony prit tout l'argent liquide qu'il possédait, soit 50 000 francs, et se dirigea vers la gare. Il mit ses deux lettres à la poste et prit l'Express-Orient pour Paris.

  
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sistersa007
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Re: Bannissement

Messagepar sistersa007 » 02 Juin 2014, 20:47

Guillaume Apollinaire

 

Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un Hospodar
Roman (1907)

 

(suite)

 

2

- Mademoiselle, je ne vous ai pas plutôt aperçue que, fou d'amour, j'ai senti mes organes génitaux se tendre vers votre beauté souveraine et je me suis trouvé plus échauffé que si j'avais bu un verre de raki.

- Chez qui ? chez qui ?

- Je mets ma fortune et mon amour à vos pieds. Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même onze mille verges me châtient si je mens !

- Et comment !

-Mes sentiments ne sont pas mensongers. Je ne parle pas ainsi à toutes les femmes. Je ne suis pas un noceur.

- Et ta sœur !

Cette conversation s'échangeait sur le boulevard Malesherbes, un matin ensoleillé. Le mois de mai faisait renaître la nature et les pierrots parisiens piaillaient d'amour sur les arbres reverdis. Galamment, le prince Mony Vibescu tenait ces propos à une jolie fille svelte qui, vêtue avec élégance, descendait vers la Madeleine. Il la suivait avec peine tant elle marchait vite. Tout à coup, elle se retourna brusquement et éclata de rire :

-Aurez vous bientôt fini ; je n'ai pas le temps maintenant. Je vais voir une amie rue Duphot, mais si vous êtes prêt à entretenir deux femmes enragées de luxe et d'amour, si vous un homme enfin, par la fortune et la puissance copulative, venez avec moi.

Il redressa sa jolie taille en s'écriant :

- Je suis un prince Roumain, hospodar héréditaire.

- Et moi, dit-elle, je suis Culculine d'Ancône, j'ai dix-neuf ans, j'ai déjà vidé les couilles de dix hommes exceptionnels sous le rapport amoureux, et la bourse de quinze millionnaires.

Et devisant agréablement de diverses choses futiles ou troublantes, le prince et Culculine arrivèrent rue Duphot. Ils montèrent au moyen d'un ascenseur jusqu'à un premier étage.

-Le prince Mony Vibescu... Mon amie Alexine Mangetout.

La présentation fut fait très gravement par Culculine dans un boudoir luxueux décoré d'estampes japonaises obscènes.

Les deux amies s'embrassèrent en se passant des langues. Elles étaient grandes toutes deux, mais sans excès.

Culculine était brune, des yeux gris pétillants de malice, et un grain de beauté poilu ornait le bas de sa joue gauche. Son teint était mat, son sang affluait sous la peau, ses joues et son front se ridaient facilement attestant ses préoccupations d'argent et d'amour.

Alexine était blonde, de cette couleur tirant sur la cendre comme on ne la voit qu'à Paris. Sa carnation claire semblait transparente. Cette jolie fille apparaissait, dans son charmant déshabillé rose, aussi délicate et aussi mutine qu'une marquise friponne de l'avant-dernier siècle.

La connaissance fut bientôt nouée, et Alexine, qui avait eu un amant roumain alla chercher sa photographie dans la chambre à coucher. Le prince et Culculine l'y suivirent. Tous deux se précipitèrent sur elle et la déshabillèrent en riant. Son peignoir tomba, la laissant dans une chemise de batiste qui laissait voir un corps charmant, grassouillet, troué de fossettes aux bons endroits.

Mony et Culculine la renversèrent sur le lit et mirent à jour ses beaux tétons roses, gros et durs, dont Mony suça les pointes. Culculine se baissa et, relevant la chemise, découvrit des cuisses rondes et grosses qui se réunissaient sous le chat blond cendré comme les cheveux. Alexine, poussant des petits cris de volupté, ramena sur le lit ses petits pieds qui laissèrent échapper des mules dont le bruit sur le sol fut sec. Les jambes bien écartées, elle haussait le cul sous le léchage de son amie en crispant les mains autour du cou de Mony.

Le résultat ne fut pas long à se produire, ses fesses se serrèrent, ses ruades devinrent plus vives, elle déchargea en disant:

-Salauds, vous m'excitez, il faut me satisfaire!

-Il a promis de le faire vingt fois! dit Culculine et elle se déshabilla.

Le prince fit comme elle. Ils furent nus en même temps, et tandis qu'Alexine gisait pâmée sur le lit, ils purent admirer leurs corps réciproquement. Le gros cul de Culculine se balançait délicieusement sous une taille très fine et les grosses couilles de Mony se gonflaient sous un énorme vit dont Culculine s'empara.

-Mets le lui, dit-elle, tu me le feras après.

Le prince approcha son membre du con entrouvert d'Alexine qui tressaillit à cette approche:

-Tu me tues! cria-t-elle. Mais le vit pénétra jusqu'aux couilles et ressortit pour rentrer comme un piston. Culculine monta sur le lit et posa son chat noir sur la bouche d'Alexine, tandis que Mony lui léchait le troufignon. Alexine remuait son cul comme une enragée, elle mit un doigt dans le trou du cul de Mony qui banda plus fort sous cette caresse. Il ramena ses mains sous les fesses d'Alexine qui crispaient avec une force incroyable, serrant dans le con enflammé l'énorme vit qui pouvait à peine y remuer.

Bientôt l'agitation des trois personnages fut extrême, leur respiration devint haletante. Alexine déchargea trois fois, puis ce fut le tour de Culculine qui descendit aussitôt pour venir mordiller les couilles de Mony. Alexine se mit à crier comme une damnée et elle se tordit comme un serpent lorsque Mony lui lâcha dans le ventre son foutre roumain. Culculine l'arracha aussitôt du trou et sa bouche vint prendre la place du vit pour laper le sperme qui en coulait à gros bouillons. Alexine, pendant ce temps, avait pris en bouche le vit de Mony, qu'elle nettoya proprement en le faisant de nouveau bander.

Une minute après le prince se précipita sur Culculine, mais son vit resta à la porte chatouillant le clitoris. Il tenait dans sa bouche un des tétons de la jeune femme. Alexine les caressait tous les deux.

-Mets le moi, criait Culculine, je n'en peux plus.

Mais le vit était toujours au dehors. Elle déchargea deux fois et semblait désespérée lorsque le vit brusquement la pénétra jusqu'à la matrice, alors folle d'excitation et de volupté elle mordit Mony à l'oreille si fort que le morceau lui resta dans la bouche. Elle l'avala en criant de toutes ses forces et remuant le cul magistralement. Cette blessure, dont le sang coulait à flots, sembla exciter Mony car il se mit à remuer plus fort et ne quitta le con de Culculne qu'après y avoir déchargé trois fois, tandis qu'elle-même déchargeait dix fois.

Quand il déconna, tous deux s'aperçurent avec étonnement qu'Alexine avait disparu. Elle revint bientôt avec des produits pharmaceutiques destinés à panser Mony et un énorme fouet de cocher de fiacre.

- Je l'ai acheté cinquante francs, s'écria-t-elle, au cocher de l'urbaine 3269, et il va nous servir à faire rebander le Roumain. Laisse-le se panser l'oreille, ma Culculine, et faisons 69 pour nous exciter.

Pendant qu'il étanchait son sang, Mony assista à ce spectacle émoustillant: tête-bêche, Culculine et Alexine se glottinaient avec entrain. Le gros cul d'Alexine, blanc et potelé, se dandinait sur le visage de Culculine ; les langues longues comme des vits d'enfants, marchaient ferme, la bave et le foutre se mêlaient, les poils mouillés se collaient et des soupirs à fendre l'âme, s'ils n'avaient été des soupirs de volupté, s'élevaient du lit qui craquait et geignait sous l'agréable poids des jolies filles.

- Viens m'enculer ! cria Alexine.

Mais Mony perdait tant de sang qu'il n'avait plus envie de bander. Alexine se leva et saisissant le fouet du cocher de fiacre 3269, un superbe perpignan tout neuf, le brandit et cingla les fesses et le dos de Mony, qui sous cette nouvelle douleur oublia son oreille saignante et se mit à hurler. Mais Alexine, nue et semblable à une bacchante en délire, tapait toujours.

-Viens me fesser aussi ! cria-t-elle à Culculine dont les yeux flamboyaient et qui vint fesser à tour de bras le gros cul agité d'Alexine. Culculine fut bientôt aussi excitée.

-Fesse-moi, Mony! supplia-t-elle, et celui-ci qui s'habituait à la correction, bien que son corps fût saignant, se mit à fesser les belles fesses brunes qui s'ouvraient et se fermaient en cadence. Quand il se mit à bander, le sang coulait, non seulement de l'oreille, mais aussi de chaque marque laissée par le fouet cruel.

Alexine se retourna alors et présenta ses belles fesses rougies à l'énorme vit qui pénétra dans la rosette, tandis que l'empalée criait en agitant le cul et les tétons. Mais Culculine les sépara en riant. Les deux femmes reprirent leur gamahuchage, tandis que Mony, tout saignant et relogé jusqu'à la garde dans le cul d'Alexine, s'agitait avec une vigueur qui faisait terriblement jouir sa partenaire. Ses couilles se balançaient comme les cloches de Notre-Dame et venaient heurter le nez de Culculine. A un moment, le cul d'Alexine se serra avec une grande force à la base du gland de Mony qui ne put plus remuer. c'est ainsi qu'il déchargea à longs jets tétés par l'anus avide d'Alexine Mangetout.

Pendant ce temps, dans la rue la foule s'amassait autour du fiacre 3269 dont le cocher n'avait pas de fouet.

Un sergent de ville lui demanda ce qu'il en avait fait.

-Je l'ai vendu à une dame de la rue Duphot.

-Allez le racheter ou je vous fous une contravention.

-On y va, dit l'automédon, un Normand d'une force peu commune, et, après avoir pris des renseignements chez la concierge, il sonna au premier étage.

Alexine alla lui ouvrir à poil ; le cocher en eut un éblouissement et, comme elle se sauvait dans la chambre à coucher, il courut derrière, l'empoigna et lui mit en levrette un vit de taille respectable. Bientôt il déchargea en criant : "Tonnerre de Brest, Bordel de Dieu, Putain de salope !"

Alexine lui donnait des coups de cul, et déchargea en même temps que lui, pendant que Mony et Culculine se tordaient de rire. Le cocher, croyant qu'ils se moquaient de lui, se mit dans une colère terrible.

-Ah ! putains, maquereau, charogne, pourriture, choléra, vous vous foutez de moi ? Mon fouet, où est mon fouet ?

Et l'apercevant, il s'en saisit pour taper de toutes ses forces sur Mony, Alexine et Culculine dont les corps nus bondissaient sous les cinglées qui laissaient des marques saignantes. Puis il se mit à rebander et, sautant sur Mony, se mit à l'enculer.

La porte d'entrée était restée ouverte, et le sergot, qui ne voyant pas revenir le cocher, était monté, pénétra à cet instant dans la chambre à coucher; il ne fut pas long à sortir son vit réglementaire. Il l'insinua dans le cul de Culculine qui gloussait comme une poule et frémissait au contact froid des boutons d'uniforme.

Alexine inoccupée prit le bâton blanc qui se balançait dans la gaine au côté du sergent de ville. Elle se l'introduisit dans le con, et bientôt cinq personnes se mirent à jouir effroyablement, tandis que le sang des blessures coulait sur les tapis, les draps et les meubles et pendant que dans la rue on emmenait en fourrière le fiacre abandonné 3269 dont le cheval péta tout au long du chemin qu'il parfuma de façon nauséabonde.

 

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Re: Bannissement

Messagepar sistersa007 » 02 Juin 2014, 20:48

Guillaume Apollinaire

 

Les Onze Mille Verges ou les Amours d'un Hospodar
Roman (1907)

 

(suite)

 

3

Quelques jours après la séance que le cocher de fiacre 3269 et l'agent de police avaient achevée de façon si bizarre, le prince Vibescu était à peine remis de ses émotions. Les marques de la flagellation s'étaient cicatrisées et il était mollement étendu sur un sofa dans un salon du Grand-Hôtel. Il lisait pour s'exciter les faits divers du JOURNAL. Une histoire le passionnait. Le crime était épouvantable. Un plongeur de restaurant avait fait rôtir le cul d'un jeune marmiton, puis l'avait enculé tout chaud et saignant en mangeant les morceaux rôtis qui se détachaient du postérieur de l'éphèbe. Aux cris du Vatel en herbe, les voisins étaient accourus et on avait arrêté le sadique plongeur. L'histoire était racontée dans tous ses détails et le prince la savourait en se branlottant doucement la pine qu'il avait sortie.

A ce moment on frappa. Une femme de chambre accorte, fraîche et toute jolie avec son bonnet et son tablier, entra sur l'ordre du prince. Elle tenait une lettre et rougit en voyant la tenue débraillé de Mony qui se reculotta :

- Ne vous en allez pas, mademoiselle la jolie blonde, j'ai deux mots à vous dire. En même temps il ferma la porte et, saisissant la jolie Mariette par la taille, il l'embrassa goulûment sur la bouche. Elle se débattit d'abord serrant très fort les lèvres, mais bientôt, sous l'étreinte, elle commença à s'abandonner, puis sa bouche s'ouvrit. La langue du prince y pénétra aussitôt mordue par Mariette dont la langue mobile vint chatouiller l'extrémité de celle de Mony.

D'une main, le jeune homme entourait sa taille, de l'autre, il relevait ses jupes. Elle ne portait pas de pantalon. Sa main fut rapidement entre deux cuisses grosses et rondes qu'on ne lui eût pas supposées car elle était grande et mince. Elle avait un con très poilu. Elle était très chaude et la main fut bientôt à l'intérieur d'une fente humide, tandis que Mariette s'abandonnait en avançant le ventre. Sa main à elle errait sur la braguette de Mony qu'elle arriva à déboutonner. Elle en sortit le superbe boute-joie qu'elle n'avait fait qu'apercevoir en entrant. Ils se branlaient doucement ; lui, lui pinçant le clitoris ; elle, pressant son pouce sur le méat du vit. Il la poussa sur le sofa où elle tomba assise. Il lui releva les jambes et se les mit sur les épaules, tandis qu'elle se dégrafait pour faire jaillir deux superbes tétons bandants qu'il se mit à sucer tour à tour en faisant pénétrer dans le con sa pine brûlante. Bientôt, elle se mit à crier :

- c'est bon, c'est bon... comme tu le fais bien...

Alors elle donna des coups de cul désordonnés, puis il la sentit décharger en disant :

- Tiens, je jouis... tiens... prends tout.

Aussitôt après, elle lui empoigna brusquement la pine en disant :

- Assez pour ici.

Elle la sortit du con et se l'entra dans un autre trou tout rond, placé un peu plus bas, comme un œil de cyclope entre deux globes charnus, blancs et frais. La pine, lubrifiée par le foutre féminin, pénétra facilement et, après avoir culeté vivement, le prince lâcha tout son sperme dans le cul de la jolie femme de chambre. Ensuite il entendit sa pine qui fit : "floc", comme quand on débouche une bouteille et sur le bout il y avait encore du foutre mêlé d'un peu de merde. A ce moment, on sonna dans le corridor et Mariette dit : "Il faut que j'aille voir". Et elle se sauva après avoir embrassé Mony qui lui mit deux louis dans la main. Dès qu'elle fut sortie, il se lava la queue, puis décacheta la lettre qui contenait ceci :

"Mon beau Roumain,

"Que deviens tu ? Tu dois être remis de tes fatigues. Mais souviens-toi de ce que tu m'as dit : si je ne fais pas l'amour vingt fois de suite, que onze mille verges me châtient. Tu ne l'as pas fait vingt fois, tant pis pour toi. "L'autre jour tu as été reçu dans le foutoir d'Alexine, rue Duphot. Mais maintenant que nous te connaissons, tu peux venir chez moi. Chez Alexine, ce n'est pas possible. Elle ne peut même pas me recevoir, moi. c'est pour ça qu'elle a un foutoir. Son sénateur est trop jaloux. Moi, je m'en fous ; mon amant est explorateur, il est en train d'enfiler des perles avec des négresses de la Côte d'Ivoire. Tu peux venir chez moi, 214, rue de Prony. Nous t'attendons à quatre heures." Culculine d'Ancône.

Sitôt qu'il eût lu cette lettre, le prince regarda l'heure. Il était onze heures du matin. Il sonna pour faire monter le masseur qui la massa, et l'encula proprement. Cette séance le vivifia. Il prit un bain t il se sentit frais et dispos en sonnant pour le coiffeur qui le coiffa et l'encula artistiquement. Le pédicure manucure monta ensuite. Il lui fit les ongles et l'encula vigoureusement. Alors le prince se sentit tout à fait à son aise. Il descendit sur les boulevards, déjeuna copieusement, puis prit un fiacre qui le mena rue de Prony. C'était un petit hôtel, tout entier habité par Culculine. Une vieille bonne l'introduisit. Cette habitation était meublée avec un goût exquis. On le fit entrer de suite dans une chambre à coucher dont le lit très bas et en cuivre était très large. Le parquet était recouvert de peaux de bêtes qui étouffaient le bruit des pas. Le prince se déshabilla rapidement et il était tout nu lorsqu'entrèrent Alexine et Culculine dans des déshabillés ravissants. Elles se mirent à rire et l'embrassèrent. Il commença par s'asseoir, puis prit les deux jeunes femmes chacune sur une de ses jambes, mais en relevant leur jupon de façon qu'elles restaient décemment habillées et qu'il sentait leurs culs nus sur ses cuisses. Puis il se mit à les branler chacune d'une main, tandis qu'elles lui chatouillaient le vit. Quand il les sentit bien excitées, il leur dit :

-Maintenant nous allons faire la classe.
Il les fit asseoir sur une chaise en face de lui, et après avoir réfléchi un instant, leur dit:

- Mesdemoiselles, je viens de sentir que vous n'avez pas de pantalon. Vous devriez avoir honte. Allez vite en mettre un.

Quand elles revinrent, il commença la classe.
            - Mademoiselle Alexine Mangetout, comment s'appelle le roi d'Italie?
            - Si tu crois que ça m'occupe, je n'en sais rien, dit Alexine.
            - Allez vous mettre sur le lit, cria le professeur.

Il la fit mettre sur le lit à genoux et le dos tourné, lui fit relever ses jupes et écarter la fente du pantalon d'où émergèrent les globes éclatants de blancheur des fesses. Alors il se mit à taper dessus du plat de la main; bientôt le postérieur commença à rougir. Cela excitait Alexine qui faisait beau cul, mais bientôt le prince lui-même n'y tint plus. Passant ses mains autour du buste de la jeune femme, il lui empoigna ses tétons sous le peignoir, puis, faisant descendre une main, il lui chatouilla le clitoris et sentit que son con était tout mouillé. Ses mains à elle n'étaient pas inactives; elles avaient empoigné la pine du prince et l'avaient dirigée dans le sentier étroit de Sodome. Alexine se penchait de façon à ce que son cul ressortit mieux et pour faciliter l'entrée à la bite de Mony.

Bientôt le gland fut dedans, le reste suivit et les couilles venaient battre au bas des fesses de la jeune femme. Culculine qui s'embêtait se mit aussi sur le lit et lécha le con d'Alexine qui, fêtée des deux côtés, jouissait à en pleurer. Son corps secoué par la volupté se tordait comme si elle en souffrait. Il s'échappait de sa gorge des râles voluptueux. La grosse pine lui remplissait le cul et allant en avant, en arrière, venait heurter la membrane qui la séparait de la langue de Culculine qui recueillait le jus provoqué par ce passe-temps. Le ventre de Mony venait battre le cul d'Alexine. Bientôt le prince culeta plus fort. Il se mit à mordre le cou de la jeune femme. La pine s'enfla. Alexine ne put plus supporter tant de bonheur; elle s'affala sur la face de Culculine qui ne cessa pas de lécher, tandis que le prince la suivait dans sa chute, la pine dans le cul. Encore quelques coups de reins, puis Mony lâcha son foutre. Elle resta étendue sur le lit tandis que Mony allait se laver et que Culculine se levait pour pisser. Elle prit un seau, se mit debout dessus, les jambes écartées, releva son jupon et pissa copieusement, puis, pour souffler les dernières gouttes qui restaient dans les poils, elle lâcha un petit pet tendre et discret qui excita considérablement Mony.

-Chie-moi dans les mains, chie-moi dans les mains! s'écria-t-il.

Elle sourit; il se mit derrière elle, tandis qu'elle baissait un peu le cul et commençait à faire des efforts. Elle avait un petit pantalon de batiste transparente au travers duquel on apercevait ses belles cuisses nerveuses. Des bas noirs à jour lui montaient au dessus du genou et moulaient deux merveilleux mollets d'un galbe incomparable, ni trop gros ni trop maigres. Le cul ressortait dans cette position, admirablement encadré par la fente du pantalon. Mony regardait attentivement les fesses brunes et roses, duvetées, animées par un sang généreux. Il apercevait le bas de l'épine dorsale un peu saillante et en dessous, la raie culière commençait. D'abord large, puis s'étrécissant et devenant profonde au fur et a mesure que l'épaisseur des fesses augmentait; on arrivait ainsi jusqu'au troufignon brun et rond, tout plissé. Les efforts de la jeune femme eurent d'abord pour effet de dilater le trou du cul et de faire sortir un peu d'une peau lisse et rose qui se trouve à l'intérieur et ressemble à une lèvre retroussée.

- Chie donc ! criait Mony !

Bientôt apparut un petit bout de merde, pointu et insignifiant, qui montra la tête et rentra aussitôt dans sa caverne. Il reparut ensuite, suivi lentement et majestueusement par le reste du saucisson qui constituait un des plus beaux étrons qu'un gros intestin eût jamais produit.
La merde sortait onctueuse et ininterrompue, filée avec calme comme un câble de navire. Elle pendillait gracieusement entre les jolies fesses qui s'écartaient de plus en plus. Bientôt elle se balança plus fort. Le cul se dilata encore plus, se secoua un peu et la merde tomba, toute chaude et fumante, entre les mains de Mony qui se tendaient pour la recevoir. Alors il cria : "reste comme ça !" et, se penchant, il lui lécha bien le trou du cul en faisant rouler l'étron dans ses mains. Ensuite, il l'écrasa avec volupté, puis s'en enduisit tout le corps. Culculine se déshabillait pour faire comme Alexine qui s'était mise nue et montrait à Mony son gros cul transparent de blonde:

"Chie-moi dessus !", cria Mony à Alexine en s'étendant par terre. Elle s'accroupit sur lui, mais pas complètement. Il pouvait jouir du spectacle offert par son trou du cul. Les premiers efforts eurent pour résultat de faire sortir un peu du foutre que Mony y avait mis ; ensuite vint la merde, jaune et molle, qui tomba en plusieurs fois et, comme elle riait et se remuait, la merde tombait de côté et d'autre sur le corps de Mony qui eut bientôt le ventre orné de plusieurs de ces limaces odoriférantes.

            Alexine avait pissé en même temps et le jet tout chaud, tombant sur la pine de Mony, avait réveillé ses esprits animaux. La quille commença à se soulever petit à petit en enflant jusqu'au moment où, arrivée à sa grosseur normale, le gland se tenait, rouge comme une grosse prune, sous les yeux de la jeune femme qui, s'en rapprochant, s'accroupit de plus en plus, faisant pénétrer la pine en érection entre les bords velus du con large ouvert. Mony jouissait du spectacle. Le cul d'Alexine, en se baissant, étalait de plus en plus sa rotondité appétissante. Ses rondeurs affriolantes s'affirmaient et l'écartement des fesses s'accusait de plus en plus. Quand le cul fut bien descendu, que la pine fut complètement engloutie, le cul se releva et commença un joli mouvement de va-et-vient qui modifiait son volume dans des proportions importantes et c'était un spectacle délicieux. Mony tout emmerdé jouissait profondément ; bientôt il sentit le vagin se resserrer et Alexine dit d'une voix étranglée :

- Salaud, ça vient... je jouis ! et elle lâcha sa semence

Mais Culculine qui avait assisté à cette opération et paraissait en chaleur, la tira brusquement de dessus son pal et se jetant sur Mony sans s'inquiéter de la merde qui la salit aussi, s'entra la queue dans le con en poussant un soupir de satisfaction. Elle commença à donner des coups de cul terribles en disant "Han" à chaque coup de reins. Mais Alexine dépitée d'avoir été dépossédée de son bien, ouvrit un tiroir et en tira un martinet fait de lanières de cuir. Elle commença à taper sur le cul de Culculine dont les bords devinrent encore plus passionnés. Alexine, excitée par le spectacle, tapait dur et ferme. Les coups pleuvaient sur le superbe postérieur. Mony, penchant un peu la tête de côté, voyait, dans une glace qui faisait vis-à-vis, le gros cul de Culculine monter et s'abaisser. A la montée les fesses s'entrouvraient et la rosette apparaissait un instant pour disparaître à la descente quand les belles fesses joufflues se serraient. En dessous les lèvres poilues et distendues du con engloutissaient la pine énorme qui pendant la montée apparaissait presque entière et mouillée. Les coups d'Alexine eurent bientôt rougi complètement le pauvre cul qui maintenant tressaillait de volupté. Bientôt un coup laissa une marque saignante. Toutes les deux, celle qui tapait et celle qu'on fouettait, déliraient comme des bacchantes et semblaient jouir autant l'une que l'autre. Mony lui même se mit à partager leur fureur et ses ongles labourèrent le dos satiné de Culculine. Alexine, pour taper commodément sur Culculine, se mit à genoux auprès du groupe. Son gros cul joufflu et secoué et chaque coup qu'elle donnait, se trouva à deux doigts de la bouche de Mony.

Sa langue fut bientôt dedans, puis la rage voluptueuse aidant, il se mit à mordre la fesse droite. La jeune femme poussa un cri de douleur. Les dents avaient pénétré et un sang frais et vermeil vient désaltérer le gosier oppressé de Mony. Il le lapa, goûtant fort son goût de fer légèrement salé. A ce moment, les bonds de Culculine devirent désordonnés. Les yeux révulsés ne montraient que le blanc. Sa bouche tachée de la merde qui était sur le corps de Mony, elle poussa un gémissement et déchargea en même temps que Mony. Alexine tomba sur eux, épuisée, râlante et grinçant des dents et Mony qui mit sa bouche dans son con n'eut qu'à donner deux ou trois coups de langue pour obtenir une décharge. Puis les nerfs se relâchèrent après quelques soubresauts et le trio s'étendit dans la merde, le sang et le foutre. Ils s'endormirent comme cela et lorsqu'il se réveillèrent les douze coups de minuit tintaient à la pendule de la chambre.

Ils s'endormirent comme cela et lorsqu'ils se réveillèrent les douze coups de minuit tintaient à la pendule de la chambre :

- Ne bougeons pas, j'ai entendu du bruit, dit Culculine, ce n'est pas ma bonne, elle est habituée à ne pas s'occuper de moi, elle doit être couchée.

Une sueur froide coulait sur le front de Mony et des deux jeunes femmes. Leurs cheveux se dressaient sur la tête et des frissons parcouraient leurs corps nus et merdeux.

- Il y a quelqu'un, ajouta Alexine.
            - Il y a quelqu'un, approuva Mony. A ce moment la porte s'ouvrit et le peu de lumière qui venait de la rue nocturne permit d'apercevoir deux ombres humaines vêtues de pardessus dont le col était relevé et coiffées de chapeaux melons.

Brusquement le premier fit jaillir la clarté d'une lampe électrique qu'il tenait à la main. La lueur éclaira la pièce, mais les cambrioleurs n'aperçurent pas d'abord le groupe étendu sur le plancher.

- Ça sent très mauvais, dit le premier

- Entrons tout de même, il doit y avoir du pèze dans les tiroirs, répliqua le second. A ce moment, Culculine, qui s'était traînée vers le bouton de l'électricité, éclaira brusquement la pièce.

Les cambrioleurs restèrent interdits devant ces nudités :
            - Ben merde, dit le premier, foi de Cornabœux, vous avez du goût. 
            C'était un colosse brun dont les mains étaient poilues. Sa barbe en broussaille le rendait encore plus hideux.
            - Mince de rigolade, dit le second, moi la merde, ça me va, ça porte bonheur.
            C'était un pâle voyou borgne qui mâchonnait un mégot de cigarette éteinte.
            - T'as raison, la Chaloupe, dit Cornabœux, je viens justement de marcher dedans et pour premier bonheur je crois que je vais enfiler Mademoiselle. Mais d'abord pensons au jeune homme. 
            Et se jetant sur Mony épouvanté, les cambrioleurs le bâillonnèrent et lui lièrent les bras et les jambes. Puis se tournant vers les deux femmes frisonnantes mais un peu amusées, la Chaloupe dit :

- Et vous les mômes, tachez d'être gentilles, sans quoi je le dirai à Prosper.
            Il avait une badine à la main et la donna à Culculine en lui ordonnant de taper sur Mony de toutes ses forces. Puis se plaçant derrière elle, il sortit une pine mince comme un petit doigt, mais très longue. Culculine commençait à s'amuser. La Chaloupe débuta par lui claquer les fesses en disant:
            - Eh bien, mon gros joufflu, tu vas jouer de la flûte, moi je suis pour la terre jaune.
            Il maniait et palpait ce gros cul duveteux et ayant passé une main sur le devant il maniait le clitoris, puis brusquement il entra la pine mince et longue. Culculine commença à remuer le cul en tapant sur Mony qui ne pouvant ni se défendre ni crier, gigotait comme un ver à chaque coup de baguette qui laissait une marque rouge bientôt violacée. Puis au fur et à mesure que l'enculade avançait, Culculine excitée tapait de plus fort en criant:
            - Salaud, tiens pour ta sale charogne... La Chaloupe, fais moi entrer ton cure dent jusqu'au fond. 
            Le corps de Mony fut bientôt saignant.

Pendant ce temps, Cornabœux avait empoigné Alexine et l'avait jetée sur le lit. Il commença par lui mordiller les nichons qui commencèrent à bander. Puis il descendit jusqu'au con qu'il mit entier dans sa bouche, tandis qu'il tirait les jolis poils blonds et frisés de la motte. Il se releva et sortit sa pine énorme mais courte dont la tête était violette. Retournant Alexine, il se mit à fesser son gros cul rose; de temps en temps, il passait sa main dans la raie culière. Puis il prit la jeune femme sur son bras gauche de façon à ce que son con fût à portée de la main droite. La gauche la tenait par la barbe du con... ce qui lui faisait mal. Elle se mit à pleurer et ses gémissements augmentèrent lorsque Cornabœux recommença à la fesser à tour de bras. Ses grosses cuisses roses se trémoussaient et le cul frissonnait chaque fois que s'abattait la grosse patte du cambrioleur. A la fin elle essaya de se défendre. De ses petites mains libres elle se mit à griffer sa face barbue. Elle lui tira les poils du visage comme il lui tirait la barbe du con:
            -Ça va bien, dit Cornabœux, et il la retourna. 
            A ce moment, il aperçu le spectacle formé par la Chaloupe enculant Culculine qui tapait sur Mony déjà tout sanglant et cela l'excita. La grosse bitte de Cornabœux venait battre contre son derrière, mais il tapait à faux, se cognant à droite et à gauche ou bien un peu plus haut et un peu plus bas, puis quand il trouva le trou, il plaça ses mains sur les reins polis et potelés d'Alexine et la tira à lui de toutes ses forces. La douleur que lui causa cette énorme pine qui lui déchirait le cul l'aurait fait crier de douleur si elle n'avait pas été aussi excitée par tout ce qui venait de se passer. Aussitôt qu'il eut fait entrer la pine dans le cul, Cornabœux la ressortit, puis retournant Alexine sur le lit il lui enfonça son instrument dans le ventre. L'outil entra à grand peine à cause de son énormité, mais dès qu'il fut dedans, Alexine croisa ses jambes sur les reins du cambrioleur et le tint si serré que même s'il avait voulu sortir il ne l'aurait pas pu. Le culetage fut enragé. Cornabœux lui suçait les tétons et sa barbe la chatouillait en l'excitant, elle passa une main dans le pantalon et fit entrer un doigt dans le trou du cul du cambrioleur. Ensuite ils se mirent à se mordre comme des bêtes sauvages en donnant des coups de cul. Ils déchargèrent frénétiquement. Mais la pine de Cornabœux, étranglée par le vagin d'Alexine, recommença à bander. Alexine ferma les yeux pour mieux savourer cette seconde étreinte. Elle déchargea quatorze fois pendant que Cornabœux déchargeait trois fois. Quand elle reprit ses esprits, elle s'aperçut que son con et son cul étaient saignants. Ils avaient été blessés par l'énorme bite de Cornabœux. Elle aperçut Mony qui faisait des soubresauts convulsifs sur le sol.

Son corps n'était qu'une plaie.

Culculine, sur l'ordre du borgne la Chaloupe, lui suçait la queue, à genoux devant lui:
            - Allons, debout, garce, cria Cornabœux.

Alexine obéit et il lui envoya dans le cul un coup de pied qui la fit tomber sur Mony. Cornabœux lui attacha les bras et la bâillonna sans prendre garde à ses supplications et saisissant la badine, il se mit à zébrer de coups son joli corps de fausse maigre. Le cul tressaillait sous chaque coup de baguette, puis ce fut le dos, le ventre, les cuisses, les seins qui reçurent la dégelée. En gigotant et se débattant, Alexine rencontra la bitte de Mony qui bandait comme celle d'un cadavre. Elle s'accrocha par hasard au con de la jeune femme et y pénétra.

Cornabœux redoubla ses coups et tapa indistinctement sur Mony et Alexine qui jouissaient d'une façon atroce. Bientôt la peau rose de la jolie blonde ne fut plus visible sous les zébrures et sang qui coulait. Mony s'était évanoui, elle s'évanouit bientôt après. Cornabœux, dont le bras commençait à être fatigué, se tourna vers Culculine qui essayait de tailler une plume à la Chaloupe. Mais le bougre ne pouvait pas décharger.

Cornabœux ordonna à la belle brune d'écarter les cuisses. Il eut beaucoup de peine à l'enfiler en levrette. Elle souffrit beaucoup, mais stoïquement, ne lâchant pas la pine de la Chaloupe qu'elle suçait. Quand œ eut bien pris possession du con du Culculine, il lui fit lever le bras droit et mordilla les poils des aisselles où elle avait une touffe très épaisse. Quand la jouissance arriva, elle fut si forte que Culculine s'évanouit en mordant violemment la bitte de la Chaloupe. Il poussa un cri de douleur terrible, mais le gland était détaché. Cornabœux, qui venait de décharger, sortit brusquement son braquemart du con de Culculine qui tomba évanouie sur le sol. La Chaloupe perdait tout son sang. 
            - Mon pauvre la Chaloupe, dit Cornabœux, tu es foutu, il vaut mieux crever de suite, et, tirant un couteau, il en donna un coup mortel à la Chaloupe en secouant sur le corps de Culculine les dernières gouttes de foutre qui pendaient à son vit. La Chaloupe mourut sans dire "ouf".

Cornabœux se reculotta soigneusement, vida tout l'argent des tiroirs et des vêtements, il prit aussi des bijoux, des montres. Puis il regarda Culculine qui gisait évanouie sur le sol.
            - Il faut venger la Chaloupe, pensa-t-il et tirant de nouveau son couteau il en donna un coup terrible entre les deux fesses de Culculine qui resta évanouie. Cornabœux laissa le couteau dans le cul. Trois heures du matin sonnèrent aux horloges. Puis il sortit comme il était entré, laissant sur quatre corps étendus sur le sol de la pièce pleine de sang, de merde, de foutre et d'un désordre sans nom.

Dans la rue il se dirigea allègrement vers Ménilmontant en chantant: 

Un cul ça doit sentir le cul 
Et non pas l'essence de Cologne...

Et aussi: 

Bec... que de gaz 
Bec... que de gaz 
Allume, allume, mon pt'it trognon.

 

 

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Re: Bannissement

Messagepar lesmontres » 02 Juin 2014, 20:52

Je préfèrerai des images, que de mots!.......
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Re: Bannissement

Messagepar lautromi » 02 Juin 2014, 20:53

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Re: Bannissement

Messagepar lesmontres » 02 Juin 2014, 20:54

:lol: :thumbsup:
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