Reno a écrit: le Château




J'avais été particulièrement frappé par cette séquence, où K, l'arpenteur, se retrouve logé misérablement dans une salle de classes (où il doit se transformer en instituteur pour justifier le gîte et le couvert 'offert' par le village), et où, transi de froid, avec une femme qui l'accompagne (et dont il a plus ou moins la charge par je ne sais plus quel tour du destin), il en est réduit à forcer une réserve de bois pour arriver à allumer la cheminée.
Outre le pathétique de la situation, je me souviens qu'il se faisait par surcroit engueuler par un agent de mairie parce qu'il avait
illégalement utilisé le bois normalement réservé à la classe. C'est vraiment le prototype de la dinguerie Kafkaïenne dans toute son horreur.