Nico_le_Normand a écrit:Je l'ai toujours dit : le voisin est un animal nuisible !
Hélas. Et il ne faut jamais se croire à l'abri…
"Chez nous" (pour quelques jours encore), les conditions n'étaient pas idéales, sur le papier… autour de notre cour, au pied du jardin, se trouvent deux corps de bâtiment, occupés par d'autres locataires… il y a des fenêtres qui donnent sur la cour
Ça m'a fait péter les plombs, quand j'ai découvert ça… et en fait, on n'a jamais été dérangés (hormis avec des ouvriers qui passaient la tête pour regarder chez nous, mais jamais avec les occupants eux-mêmes, très discrets).
Même chose, le long du terrain, il y a un hangar professionnel avec des fenêtres qui donnent sur le terrain

je pensais qu'on allait être emmerdés, et finalement, non, jamais
Et vu la configuration des lieux, ça aurait pu être bien plus bruyant, et hormis l'épisode avec le p'tit con de zicos qui jouait de la gratte toute la journée et qui rentrait en drapeau avec ses potes drogués à 3h du mat' en foutant la musique sur une sono digne du Stade de France (c'est arrivé 3 fois en tout et pour tout), on a toujours eu une paix royale.
Son studio est d'ailleurs à nouveau occupé, et on n'a jamais été dérangé par le locataire… un jeune, aussi, mais bien élevé.
Autre anecdote, que je raconte à chaque fois quand on me parle de nuisances sonores, parce qu'elle est assez emblématique :
Un de mes anciens potes avait une chambre chez l'habitante, quand il était thésard à Orsay… quartier résidentiel super chicos, grandes rues bien larges, des grandes baraques, des grands terrains… plein de place. Très calme…
J'étais venu lui rendre visite, un été, en plein mois d'Août… il y avait vraiment une ambiance extrêmement apaisante, dans un cadre magnifique… et là, au milieu de tout ce silence, à plus de 50m, un mec, dans une baraque, toutes fenêtres ouvertes, faisait HURLER sa chaîne, tout le voisinage en profitait
Le mec, ça devait être trop calme pour lui, ça devait l'angoisser
Et vraiment, la baraque était super loin, mais avec le retour de la rue, on se prenait le son en pleine poire, comme si on était collé contre. Un cauchemar, alors que le quartier était paradisiaque.
Les gens, seulement les gens.