
Elles ont subi les affres de l'humidité pendant xxx années, et celle-ci ne fait pas exception :


Aouch... bon, au boulot, faut démonter tout ceci :


Bah ouéoué, un poil oxydé de partout, quoi... avec une scandaleuse tentative d'évasion du spiral, à laquelle il convient de mettre fin :


Bon, je vire le cadran, lequel est bien fatigué... :

Et l'on découvre que ce magnifique mouvement à cylindre est un Cupillard 240, vers 1900-1920, 7 rubis, contre-pivot de balancier, bascule d'armage et de mise à l'heure, chaussée chassée (vas-y dire ça, toi


Et d'abord, le spiral :





Bon, c'est pas trop mal, finirais le reste sur le mouvement... :



Bien que trop ouvert, le ressort est parfait :

Pont des rouages :


Bon, tout ceci va aller au bain :



Puis essence, rodico, frottage, re-savon noir, re-essence, etc.... mais cela vaut le coup, hehe :



Nickel, quoi ! Bon, le barillet est prêt, je vais pouvoir le monter, et voir démarrer cette jolie bestiole :





Po possib', là... faut faire quek'choz... et là, le Zet, un super-Normal s'est proposé :




Au vu du résultat, j'étais





Vala, je n'ai plus qu'à remettre le cadran en place :

Puis les aiguilles :

Que j'ai bien sûr parfaitement nettoyées :


Okok, c'est mieux de l'autre côté :

Hein, foutu job, nan ? Franchement


et au poignet (j'ai pensé à dégager le paysage, hein Orano


Bon, le bracelet est à réparer, il craque un peu... mais cela n'empêche pas les photos :

et avec quelques copines, elles aussi revenues de loin :


Pour rappel, un avant-après :




Voilà, quoi, je suis



En prime, je suis plus qu'admiratif devant le travail de Zetiabo sur le cadran, j'en revient pas, c'est top ! Cela fait particulièrement ressortir les aiguilles bleues, qui se reflètent dessus... oué, un big merci à toi m'sieur Zet


Du coup, voilà une petite madeleine spéciale de plus : Cupillard, centenaire et un travail collectif... autant de raisons me rendant


Allez, hop :



