La note bleue a écrit:Je n'y pensais pas non plus, jusqu'à ce que je visionne une série de vidéos remarquables sur la chaîne You tube Chronoglide, dont l'auteur explique un nombre incalculable de trucs passionnants sur l'horlogerie. C'est un excellent pédagogue (mais en anglais), et il explique pourquoi il travaille au microscope (question de posture) dans sa vidéo "How to start / optimize your own Watchmaker Workshop". C'est plutôt convaincant, d'où ma question

Ca serait intéressant de voir à quel moment (d'un rhabillage) il passe sur ce matos.
Me concernant, bosser avec un bino durant tout un rhabillage, non. On perd la notion de profondeur. Et c'est pas intuitif.
La loupe, on ne la porte pas forcément en permanence.
Ca devient utile sur un point de lubrification, un spiral à reprendre, un pivot à checker par exemple.
Pour tourner une vis ou poser un pont, ca n'a pas forcément d'intérêt.
Un bino est d'ailleurs préconisé par omega sur la lubrification de certains coaxiaux par exemple.
J'utilise de l'asco 2 1/2, c'est assez standard pour 90% des choses.
Et parfois, je sors une x12, je crois que c'est une bergeon (pas le modèle de base). Je l'ai aussi en asco, c'est pas mieux, mais c'est plus €€€.
Si je peux me permettre, le matos c'est important, mais
bosser avec une très bonne lumière, avec de l'espace, un plan de travail clean est autant sinon plus important.