on les retrouve ici
la c'est une partie de mes russes sur bracelets, c'est à dire totalement restaurées
les photos ont déjà 3 ou 4, j'avais pas encore collectionné moscou1 a l'époque
j’ai pas trop réfléchi, ça s'est joué comme ça.
faut dire que l’horlogerie soviet a un truc fondamental qui lui est propre, ce sont ses limites.
c'est une famille !! il y a un cadre, des contours, des numérotations communes.
quand tu connais par cœur la dizaine de calibres principaux, ben c'est l’éclate.
les pièces se trouvent au kilos, cette pseudo mode du steampunk a envoyé sur le marché des tonnes de pièces détachées.
les prix, si tu as des fournisseurs, restent hypra bas en Russie.
chez les suisses, rien qu'entre FHF et Anton Shild, il y a combien de calibres?
combien de montres spécifiques avec, juste pour l’exemple, des bagues d'emboitages qui ne seront jamais communes, des boitiers uniques, couronnes, aiguilles, plexi etc etc etc..
et combien de marques ?
il n'y aucune limite, c'est un océan.
il faut une vie entière pour composer le stock que moi j'ai fait en 7 ans avec les soviets.
pour les japonaises, au moins orient et ricoh, c'est déjà plus humain, mais jamais autant que l'horlogerie soviétique..
perso ça me va bien, toutes ces séries popu me vont très bien puisque je fais dans la montre populaire, j'ai presque plus rien qui dépasse 500 euros.
quant au monde du luxe ça me laisse totalement froid
au final, facilité et prix minime ont fait que je me suis éclaté a les collectionner des russes.