Gér@rd a écrit:Sur celui (mon premier appareil) que j'ai eu étant gosse, il n' y avait pas non plus de ressort et fallait tirer le tube. Mais par contre il y avait une sécurité pour empêcher de déclencher si l'objectif n'était pas sorti (on voit bien sur la photo la petite languette de plastique qui bloquait le déclencheur)...
Reno a écrit:Purée, mais vous étiez des gosses de riches![]()
Moi je n'avais qu'un pauvre Instamatic.
nic0 a écrit:heu c'est pas trop la même époque là mon jeune fanatique, nos machins en bakelite ça valait 2 francs dans les brocs
Gér@rd a écrit:Ben oui c'était pas la même chose suivant les époques...![]()
Mon appareil de gosse c'était les années '50. A cette époque l'appareil grand public et pas cher c'était principalement les folding (les trucs qui se déplient avec un soufflet... Tsoooing !) et les box (des cubes ou des parallélipipèdes). Et le format courant c'était le 6x6 ou le 6x9 (les tirages développés ensuite chez le photographe du quartier c'étaient des contacts directs). Le 24x36 c'était très cher et réservé aux les gens aisés ou aux passionnés, pas pour le grand public...
Représentant parfait des années '50 et début '60, le Brownie Kodak (un 6x6 sur pelloche 620) :
Faudra attendre le milieu des '60 pour voir apparaitre la cartouche 126 (les premiers instamatics) qui détrôneront rapidement les box et les foldings grace à leur côté simple et pratique. Et les instamatics 110 (comme celui de Reno) essaieront de prendre la suite.
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