
On a failli avoir de moins en moins de jetable partout jusqu'à qu'un couillon casse une fiole en chine et propage un virus....
RR&B a écrit:Tictac40 a écrit:LeNissart a écrit:180 ou 250 € pour la mettre un jour à la poubelle moi, après il en vende des tonnes alors c'est que des gens se tapes qu'elle soit irréparable.
C'est ce qu'on appelle .... la société de consommation![]()
Et encore là on parle de montres ... imagine le nombre de smartphones qui sont remplacés et parfois jetés rien que parce que vieux d'un an
Mon smartphone aura 8 ans cette année.
Gér@rd a écrit:Après tout, les Kelton non plus n'étaient pas conçues pour être réparables (je sais bien que des vicelards ici y mettent un point d'honneur et réussissent souvent) et le slogan est devenu "Vous vous changez, changez de Swatch...".
Gér@rd a écrit:Ach...j'en été resté aux mouvements Kelton rivetés et non donnés pour réparables (ça je l'ai lu plusieurs fois dans des discussions mais j'ai jamais eu l'idée de vérifier et de chercher des sources fiables).
J'ai essayé de chercher mais j'ai rien trouvé d’intéressant si ce n'est qu'il y a des adresses sur internet pour faire réparer sa Kelton en panne, mais ça je sais bien qu'il y en a qui le font (ici même d'ailleurs) et après tout à une époque je rechargeais les appareils photos jetables. Si t'avais un lien vers un document Kelton (style manuel de maintenance) ça m'intéresse...
Je m'intéresse beaucoup à tous ces calibres Roskopf minimalistes comme les Lapanouse/Rego, Baumgartner...etc qui ont été conçus (très intelligemment) à leur époque pour réduire drastiquement les coûts de fabrication, et en tout premier les temps de main d'oeuvre (poste le plus cher). Pour ces calibres (un Rego par exemple, il y en a eu des wagons) au sens strict, oui ils étaient théoriquement révisables (car au moins démontables/remontables). Mais après ça est-ce qu'on pouvait se procurer une pièce de rechange comme par exemple le balancier (qui était "à cheville" et sans rubis "pin pallet") ? Et comme tu le dit plus haut est-ce que ça aurait eu un sens économiquement parlant vu le prix de la main d'oeuvre ?
Ce qui m'intéresserait aussi de savoir (j'ai pas de réponse) c'est s'il y a eu ou non des calibres de ce type (Roskopf) du côté des japonais ? J'ai l'impression que non car à l'époque où ils auraient pu le faire ils n'en ont pas eu le besoin car leur main d'oeuvre était très bon marché. Faudrait que j’approfondisse (il y a quelques années j'avais un peu cherché mais rien trouvé...)
Gér@rd a écrit:Merci pour le lien, après quelques couacs avec Google Doc j'ai réussi à télécharger sans problème celui du M24, juste pour voir jusqu'où ça allait. Effectivement ce sont des manuels de maintenance bien détaillés et Kelton/Timex ne décrivent pas du tout ces mouvements comme du jetable. Un horloger pouvait avec ça assurer la maintenance/révision et on peut supposer que Kelton pouvait leur fournir alors des pièces de rechange à la demande.
Donc ça relativise dans ma tête l'idée que je m'étais forgée des buts de Kelton à l'époque où ils se sont implantés en France. Après bien sûr il y avait sans doute toujours le problème de l'intérêt de la révision elle même par rapport au coût d'une neuve (ou d'un échange standard du calibre). A moins qu'un autre facteur ait joué comme par exemple une obligation légale d'être en mesure d'assurer un service de maintenance pour pouvoir distribuer le produit dans un pays donné.
Encore merci pour les infos !
Sinon je n'ai pas particulièrement de liens vers des docs de maintenance des mouvements qu'on appelle "type Roskopf" (parce qu'ils étaient dans l'esprit de simplification de la montre "prolétaire" du grand Roskopf). Je vais chercher voir si j'en trouve...
NB : mais pourquoi "montre d'abonnement" ?
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