lepoulpe a écrit:bon, bah la j'ai mechamment les boules, je viens d'aller voir un horloger conseiller par deux AD pres de chez moi... le type (tres sympa et je pense competent) a deja dus ouvrir le fond a la presse tellement il etait visse... apres un coup d'oeil sur le mouvement de la rouille partout a l'interieur... les ponts sont rouilles, et les poussoirs ont morfler.... sur les photo du vendeur le mouvement etait propre la non... bref j'ai grave les nerfs... j'ai fait un mail au vendeur, j'attend sa reponse.
acouphenix a écrit:Ouais bon, il y a tromperie sur la marchandise.
Le vendeur montre un mouvement prop'net.
En réalité, le mouvement est crado.
Si le vendeur annonce que c'est crado et qu'une révision s'impose alors, là ok, on achète en connaissance de cause (et pas à ce prix).
loi a écrit:Reno a écrit:Je saute sur l'occasion pour vous faire partager ce petit billet savoureux du site "horlogerie-suisse" (oui, je sais, j'ai des lectures d'un goût douteux) :
http://www.horlogerie-suisse.com/billet ... 71111.html
Tre très bien cette article, je pense savoir de quelle maison il parle et c'est sur qu'un jour ou l'autre ils vont se manger les couilles à agir de la sorte, Seiko n'est pas loin et bien d'autres marques qui s'enrichiront de toutes ces personnes mécontentes et déçues car c'est pas des petits collectionneurs qui parlent là et une réputation se défait plus vite qu'elle ne s'est construite, merci Reno pour le partage.
horlogerie-suisse a écrit:Deux réalités économiques.
La première, c’est qu’une marque historique existant aujourd’hui, si elle a réussi à survivre aux crises, est en elle-même un petit miracle. Quel que soit le degré d’affectivité de tous ses possesseurs, y compris des modèles passés, il lui est impossible d’endosser la responsabilité des productions passées et des époques liées à des managements successifs révolus. Il se peut néanmoins qu’elle tire avantage de cette affectivité, si elle gère bien ce paramètre historique et pratique des prix de réparation justes et réellement détaillés (avec par exemple le tarif horaire d’un horloger en 2011, ainsi que le nombre d’heures nécessaires à chaque étape de la réparation).
La deuxième est le cas d’une marque récente dont la production annuelle de montres, plutôt orientées complications, serait de 1'000 pièces. Si elle n’a pas, dès le départ de ses calculs, intégré la dimension SAV dans son coût, elle peut disparaître aux abords de son 10ème anniversaire. Faites le calcul: en supposant qu’un 10% de montres revient annuellement, pour révisions, réglages ou fin de garantie, cela signifie que cette marque pourrait, après 10 ans d’existence, se retrouver avec 1’000 pièces SAV en plus de 1’000 produites. Doublerait-t-elle pour autant son personnel? De tels déséquilibres peuvent conduire à la chute... Services gratuits et autres faveurs, même au nom du luxe ultime, ne sont pas toujours envisageables. Sauf si le SAV, cet incontournable élément, a été pensé dès le départ du business plan.
{*} Lire aussi la chronique d’opinion parue le 28 septembre 2011 dans Heure Suisse N°114
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