
J'ai commencé, comme beaucoup à l'époque, par une modeste Kelton ou assimilée, perdue au Collège ( ô désespoir!), puis des quartz "digitales" dans ces années 75-80, dont j'ai toujours en mémoire le côté magique de l'écran et des fonctions; on passa alors à une Y&B des 80's ( genre or-acier) puis à une Casio plastoc hyperinexpensive des années d'étudiant ( !!), qq Swatch dont, tout de même, the very first chronographe en 1989...et, toujours, une fascination pour la speed et un intérêt pour les montres "suisses".
Une Omega constellation quartz ( 90's) tint sa place jusqu'en 2004, puis fut remplacée par une super Casio "solar waveceptor"...et ce fut l'emballage, grâce ou à cause des fora: des Seiko, une Mido, une Vostok, etc.
Depuis maintenant 8 ans, j'ai pu concrétiser en mettant la main à la pâte: le rhabillage d'un mouvement méca c'est mon gros trip, bien plus que l'accumulation ou la collec'; j'ai revendu un certain nombre de montres, toujours à regret - mais le quotidien a ses impératifs - et je cible toujours, dans les possibilités très restreintes de mon budget, des modèles 100% originaux, pas forcément en bon état mais que je suis capable de retaper.
Aujourd'hui, même si la maladie est moins virulente, l'intérêt reste!