Sans lien direct (quoi que), par pure curiosité, je cherchais ce qui se trouvait au catalogue dans la période 2001-2006, dans la mesure où Beckensteiner avait racheté la marque à Seiko (chez qui il était auparavant Directeur France) en 2004 :
1986 - L’ère Hattori-Seiko
Le 10 décembre 1986, le groupe Hattori-Seiko Co Ltd devient propriétaire majoritaire de la marque YEMA auprès du groupe Matra Horlogerie. Cette période qui durera jusqu’en 2004, avant que la marque ne redevienne 100% française, marquera le design des montres YEMA avec une certaine inspiration des codes Seiko avec notamment la Superman II.
L’aventure spatiale de la marque se poursuit avec le chronographe YEMA Spationaute III, animé du fameux calibre Seiko 7A38, qui rejoint la station orbitale MIR au poignet de Jean-Loup Chrétien le 26 novembre 1988 dans le cadre de la mission franco-russe Aragatz.
En 2001, Kaomi Matsumoto président de YEMA, toujours propriété de Seiko, nomme Louis-Éric Beckensteiner en tant que Directeur Général avant que celui-ci ne reprenne complètement les rênes en 2004. En 2008, afin de célébrer les 60 ans de la marque, YEMA conçoit la Master Elements, chronographe équipé d'un calibre ETA Valjoux 7750 et édité à 60 exemplaires. Véritable ovni horloger, la montre est dotée de pas moins de 4 lunettes, d’un instrument de navigation aérienne, d’un instrument de calcul de vitesse, et est étanche 300 mètres.
Comme je suis arrivé avec la nouvelle gamme, en 2008, je me demandais ce qu'il y avait "juste avant", et où se situait exactement cette Sous-Marine.
Et bien j'ai (re)découvert l'existence des
Prodiver dont certaines avaient des mouvements ETA.

et leur bracelet avec ce maillon central si particulier.
Il y avait aussi les Seaspider (assez typées Seiko) :

qui existaient en auto, quartz et même kinetic.
Faudra que j'approfondisse la question
