C'est pourtant l'une de mes premières montres, avec l'Hamilton, que j'ai acheté lorsque ma passion pour les montres s'est révélée.
Il s'agit donc d'une Guy Clarac achetée en grande surface pour porter en complément de mon Hamilton, que j'ai achetée à la même époque. En "complément" signifie ici au travail.
C'est aussi mon seul chrono. Fonction plutôt symbolique puisque la grande aiguille des secondes sert en fait de seconde courante alors que celle du chrono est reléguée dans le sous-cadran à 6h.
Vous l'aurez ainsi deviné, elle est équipée du module Seiko VD54. Ce qui n'enlève rien à sa fonction première: donner l'heure.
Voyons ça de près...


L'ensemble présente bien, malgré quelques points faibles au niveau du bracelet en particulier.
Il est en maillons pliés mais se porte bien.



Avec ses 42 mm hors couronne elle est un peu grande pour moi (poignet de 16,5cm) mais l'ouverture de cadran réduite et la lunette couleur acier la font paraitre moins grande.
Ce qui n'est pas flagrant sur les photos.

On ne le dira jamais assez, les grands angles exagèrent la taille de la montre par rapport au poignet.



On remarquera que la lunette (tournante) affiche une mesure en divide qui divise l'heure (ou les minutes) en centième.
Pas courant mais rarement utile.
Attardons-nous un peu sur ce mythique VD54...

Crédit: Reno

Voilà. C'est une montre que j'aime bien, au point que j'ai arrêté de la prendre pour le travail depuis près d'un an, pour la préserver.
Mais la concurrence est rude dans la boite à montre, et j'ai finalement très peu d'occasions de la porter. J'ai donc décidé de la porter à nouveau au travail.

Encore un petit tour d'horizon...



