Dernier de la trilogie paternelle estivale, ce chrono à cadran argent…
C'était la seule des trois qui ne tournait pas… on ouvre donc le bouzin, et on découvre émerveillé le mouvement de Haute Horlogerie qui s'y trouve
Ici, aucun module exotique, on est en terrain connu : c'est l'omniprésent VD54 qui anime bon nombre de ces "montres d'abonnement", avec sa petite seconde du chrono, et la seconde courante en position centrale…
Une AG6 plus tard, et la montre repart comme si de rien n'était…
Le bracelet est en veau mort avec une déployante façon montre de plongée… ça à l'avantage d'être ultra-facile à régler
Je commence à développer une certaine tendresse pour ces petites montres sans prétention… j'en ai à présent une sous-collection relativement importante (beaucoup de 'lip', d'ailleurs…).
On leur reconnaîtra une longévité tout à fait respectable (certaines ont allègrement dépassé les 20 ans) et leurs modules quartz sans prétention continuent à donner l'heure avec une précision fort honorable…