Comme je ne poste que très rarement sur GNM, j'ai converti mon post de F*M pour que les photos passent sur MGN. Merci Abbazz

Revenons en à mon titre et à cette mini-revue. Non, je ne viens pas faire la nique aux seikophile en arguant d'une prétendue supériorité d'Omega sans aucun argument... Non, je viens en paix, après 3 semaines de port quasi quotidien de ma speed...timer d'octobre 1972.
La voilà sur une photo qui date un peu (vous l'auriez deviné).
Cette montre a été réparée, révisée (en 2014) par Peter que certains Seikophiles doivent forcément connaître. Il oeuvre quelque part en Normandie à redonner une nouvelle jeunesse à des mamies usées par le temps. Attention, quand je vous dit çà, pas la peine d'y envoyer votre cougar favorite , il ne fait de magie que sur les montres Seiko, qu'il bichonne avec passion.

Avant


La "Pogue" façon puzzle.

Puis un peu mieux en point :

Pour enfin revivre comme le garde temps qu'elle était en 1972. Voir même mieux question précision ?

Je ne regrette pas cet achat qui date un peu maintenant (2013 je crois), je regrette juste le vendeur anglais qui m'avait cédé une montre révisée... qui comme bien souvent, ne l'était pas.

Au final, la légèreté de cette montre, son remontage auto, sa précision en font un "no brainer" (désolé pour l'anglais) dans ma petite collection. L'aiguille du chrono légèrement décalée ? Affirmatif. Et alors ? Elle a 45 ans cette année. Et puis ce n'est pas la l'aiguille, c'est le cadran qui est responsable... si si. Aftermarket obligatoire pour trouver de quoi réparer une speedtimer. En bon horloger, çà compte aussi

Au final si cette mini-revue vous a donné envie d'acheter une Pogue... à moins que ce ne soit parce qu'il s'agit du premier chrono automatique à être allé dans l'espace au poignet du Colonet Pogue... armez-vous de patience ou croisez les doigts pour trouver quelqu'un de compétent qui pourra sourcer les pièces défectueuses et réparer votre acquisition.
Ben